Manifestations

Alors qu'une nouvelle manifestation pour demander un cessez-le-feu dans la bande de Gaza s'est tenue à Nancy ce samedi, les étudiants annonce envisager se mobiliser la semaine prochaine. Des premières mobilisations ont eu lieu à Sciences Po Nancy ces derniers jours.

Des militants nationalistes masqués ont déployé des banderoles devant la mairie de Châteauroux ce vendredi 3 mai, à la veille de la marche blanche en mémoire de Matisse. Ils ont scandé des slogans anti-immigration.

Après plus d'un mois de mobilisation, les salariés de l'hôpital de Montélimar (Drôme) mettent fin à leur mouvement de grève. La direction s'est engagée à annuler les mesures prises pour faire des économies.

Alors que Christian Estrosi menace de couper les subventions de la Région PACA à Sciences Po, le campus de Menton rouvre ses portes quelques jours avant le début des examens. Il avait fermé administrativement en début de semaine. Les élèves ont dorénavant à disposition une "salle de dialogue".

Après une première action mardi, quelques dizaines d'étudiants ont à nouveau manifesté ce vendredi sur le campus de Grenoble "pour la paix" et "pour le peuple palestinien" et contre une action d'Israël à Gaza qu'ils considèrent "génocidaire".

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Les étudiants engagés pour la cause palestinienne sont mobilisés devant le campus de Sciences Po Poitiers, ce vendredi. Ils demandent "une condamnation du génocide en cours à Gaza" et "la fin de l'intervention des forces de l'ordre à Sciences Po et dans les universités".

A l'initiative du syndicat SUD santé sociaux, le hall de l’hôpital de Rochefort a été occupé ce jeudi pour dénoncer des situations d'agents en souffrance et défendre l’hôpital public. L'occupation a pris fin en milieu de matinée, mais les problèmes demeurent. La direction dit recruter.

Le mouvement "Riposte alimentaire" organisait une action à Strasbourg le vendredi 3 mai. Des fumigènes ont été allumés sur le barrage Vauban, "pour demander la mise en place de la sécurité sociale de l'alimentation durable."

Quatre étudiants du campus rémois de Sciences Po ont démarré une grève de la faim ce vendredi 3 mai. Ils demandent l'ouverture d'une enquête sur les liens entre leur école et des universités israéliennes. Suite à un blocage dans la matinée, Sciences Po Reims est fermé toute la journée.

Toute la journée de jeudi, l'ESJ de Lille ainsi que Sciences Po sont restés fermés. Jusqu'à une petite centaine de jeunes ont décidé, via cette action, de dénoncer la situation à Gaza, envahie par l'armée israélienne suite à l'attaque du Hamas, en octobre 2023.

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Dans le centre-ville de Lille, des étudiants pro-palestiniens mènent une action ce jeudi. En pleine nuit, plusieurs jeunes ont tenté d'entrer dans l'école de sciences politique puis dans l'école de journalisme de Lille. Ils bloquent actuellement les deux écoles. Les forces de l'ordre sont sur place.

La tête de liste socialiste aux élections européennes, Raphaël Glucksman, visé aussi par des insultes et des bousculades, a du être exfiltré du défilé du 1er-Mai, mercredi à Saint-Étienne. Le patron du PS dans la Loire accuse Andrée Taurinya (LFI), mais croit encore à une union locale de la gauche.

Réécoutez le si j'osais de ce jeudi où il est question du premier mai, des défilés, de pluies, de parapluies, de capuches, de sandwichs mous et de conviction de gauche.

Des Grenoblois se mobilisent pour empêcher la fermeture annoncée du bureau de poste Alsace-Lorraine, dans le centre-ville de Grenoble. Mais les opposants à la fermeture veulent croire que la mobilisation fera reculer l'entreprise.

Les syndicats étudiants organisent ce jeudi soir une assemblée générale, pour déterminer la suite du mouvement de soutien à Gaza, après un premier rassemblement mardi.

Depuis quelques semaines les syndicats de postiers et un collectif "J'aime ma poste" protestent à Grenoble contre la fermeture annoncée du bureau Alsace-Lorraine. La ville s'oppose également à ce que La Poste qualifie "d'adaptation".

Entre 121.000 manifestants, selon le ministère de l'Intérieur, et "plus de 210.000", selon la CGT, se sont rassemblés pour les traditionnels défilés du 1er-Mai partout dans le pays ce mercredi. Les syndicats ont appelé à la mobilisation pour défendre les salaires, l'emploi et la paix.

Des milliers de personnes ont défilé dans le centre-ville de Nantes (Loire-Atlantique) à l'occasion des traditionnelles manifestations du 1er-Mai, journée internationale des travailleurs. À la fin du cortège, des commerces et des banques ont été vandalisés par des casseurs.

Près de 2.000 manifestants se sont rassemblés, ce 1er mai, en Pays de Savoie autour de revendications très variées. Le pouvoir d'achat, les hausses de salaires, la santé et la sécurité au travail, les services publics étaient au cœur de la mobilisation, ainsi que le soutien aux Palestiniens.

Entre 1.000 et 2.000 personnes ont manifesté sous la pluie dans les rues de Perpignan ce mercredi 1er mai. Un cortège composé de nombreux syndicats mais aussi de politiques, opposés à la tenue du meeting du Rassemblement national à Perpignan l'après-midi.

Comme chaque année, les syndicats se sont rassemblés pour le traditionnel cortège du 1er-Mai. A Dijon, ils étaient 2.500 selon les syndicats et 2.000 selon la police à défiler dans les rues.

Pour la traditionnelle mobilisation du 1er-Mai, 270 rendez-vous étaient donnés partout en France. Au Mans, les syndicats appelaient à se retrouver au parc du Gué de Maulny, où un "village des luttes" était installé pour la matinée.