Festival de la bande dessinée d'Angoulême : une édition moins fréquentée que l'an dernier
La 51ème édition du Festival International de la Bande Dessinée (FIBD) s'est achevée ce dimanche à Angoulême. Selon les premières estimations, la fréquentation serait moindre que l'année dernière pour les 50 ans du festival. Mais on retrouve une vitesse de croisière de 200.000 visiteurs
La 51ᵉ édition du Festival International de la Bande Dessinée s'est achevée hier à Angoulême. Selon les premières estimations, la fréquentation serait de l'ordre de 200.000 visiteurs cette année : c'est un peu moins que l'édition record de l'année dernière pour les 50 ans du festival, mais on retrouve un rythme d'avant-Covid, en 2020 par exemple. Parmi les satisfactions des organisateurs : c'est un festival de plus en plus international, le Manga City a de plus en plus de succès, et les expositions attirent les curieux au-delà de la durée du festival, puisqu'elles restent visibles pendant une partie de l'année.
"La bande dessinée est devenue un langage universel"
"Chez les festivaliers, j'ai été très frappé d'entendre parler dans de nombreuses langues que je ne connais pas", remarque Franck Bondoux, le délégué général du Festival d'Angoulême. "La bande dessinée est devenue un langage universel", remarque-t-il.
Parmi les animations pour mettre en valeur le talent des jeunes créateurs et dessinateurs : une fresque géante, sur le thème des jeux olympiques, réalisée en temps réel et en public. par des étudiants de Human Academy, une école de manga japonaise qui s'est installée il y a quelques années à Angoulême.
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