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"Il faudrait un printemps pluvieux" selon le directeur territorial de l'agence de l'eau Adour-Garonne

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Il a énormément plu cet automne, et cet hiver, en Gironde. Est-ce que ça veut dire que tout risque de sécheresse est écarté ? Nicolas Ilbert, directeur territorial de la délégation Atlantique-Dordogne de l'agence de l'eau Adour-Garonne nous répond.

Nicolas Ilbert, directeur de la délégation Atlantique-Dordogne de l'agence de l'eau Adour-Garonne
Nicolas Ilbert, directeur de la délégation Atlantique-Dordogne de l'agence de l'eau Adour-Garonne © Radio France

Les sols sont gorgés d'eau, c'est une réalité. Hors des villes, des secteurs entiers sont encore inondés. Avec toute l'eau tombée depuis le mois d'octobre dernier, on a l'impression que la sécheresse n'est qu'un lointain souvenir. Alors est ce qu'on peut être aussi confiant ? Le directeur territorial de la délégation Atlantique-Dordogne de l'agence de l'eau Adour-Garonne explique : "L'institut qui suit le niveau des nappes phréatiques au niveau français sort des cartes tous les mois et là, on est très largement au dessus de la moyenne de ce qu'on rencontre normalement et c'est une bonne nouvelle. Le mieux, précise pourtant Nicolas Ilbert, ce serait un printemps plutôt pluvieux pour utiliser la pluie qui tombe et qu'on puisse garder le plus longtemps possible ce capital eau qu'on a dans les sols et dans et dans les nappes."

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