Mojju, un nouveau restaurant coréen twisté à la sauce Française

Direction le 7e arrondissement pour découvrir la cuisine du chef Thibault Sombardier de chez Mojju, nom inspiré d'un alcool de riz fermenté en provenance de la ville de Jeonju.

Le restaurant propose une formule déjeuner à 24€ comprenant un bouillon, le plat du jour avec riz, et le banchan, “tous ces petits accompagnements servis avec n’importe quoi, que ce soit un barbecue ou une soupe. En ce moment, on a des asperges vertes qui sont dans un vinaigre de soja, des feuilles de la salade dans lesquelles on peut insérer de la viande ou encore une sauce à base de cresson et de wasabi”.

Le Kimchi est très populaire en Corée. “C’est de la lactofermentation tout simplement, une fermentation par le sel et l’eau. Il en existe plusieurs variétés. Avec le chou chinois, on fait un kimchi blanc et un kimchi rouge. Ce dernier étant celui qui est pimenté”.

“La cuisine coréenne est une cuisine très fine avec peu d’assaisonnement trop salés. Du côté des piments, nous on est resté sur des dosages assez souples même si on a toujours de la sauce très pimentée qu’on sert à la demande. On a fait le choix de proposer quelque chose d’enrobé, enroulé, doux et délicat”.

Pour la décoration, l’équipe a collaboré avec “Dorénavant studio”. “Ils ont une petite habitude d’essayer de twister des endroits où on se retrouve quand même dans un bistrot français avec pleins de petits codes coréens. On a voulu créer un endroit assez chaud où on se sent bien avec des jolies boiseries”.

--> Mojju : 4 Rue de l'Exposition dans le 7e arrondissement

Be Bearz, des ateliers de Pouring Paint

Voici une bonne idée d’activité à partager en famille ou entre amis. Le concept, qui fait déjà fureur à Los Angeles ou encore à Milan, vient d’arriver à Paris sous l’initiative d’Iliès. “Il s’agit de peinture que nous allons venir faire couler sur des figurines”.

Tout commence par le choix de la figurine. “On a plusieurs modèles, plusieurs tailles, la basique étant le nounours. Ensuite on sélectionne 3 couleurs de peinture qu’on va verser dessus”. Assez simple, les enfants peuvent réaliser également leur œuvre. “Le but, c’est que ce soit accessible dès 3-4 ans, dès l’âge préscolaire. C’est une petite parenthèse enchantée dans Paris”. L'expérience commence à partir de 35 euros.

Certaines sessions voient des collections de figurines inédites arriver. “On a fait une édition de boxeur lors du match de Cédric Doumbé, pour la fête de la musique il y aura des éditions de musiciens et pour les Jo des éditions de sportifs”.

Be Bearz a également une partie salon de thé. “On a aussi ce petit côté restauration qui est sympa avec des sirops à l’eau pour que tout le monde retombe en enfance”.

Attention, une deuxième boutique devrait ouvrir prochainement !

--> Be Bearz : 40 Avenue Bosque dans le 7e arrondissement