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Gastronomie libanaise et ventes aux enchères à Neuilly

À retrouver dans l'émission
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On parle également du monde incroyable des ventes aux enchères ! Comment ça fonctionne ? Comment devenir vendeur si on veut se faire un peu de sous avec certains bibelots à la maison ? On vous explique tout !

Samah, le meilleur de la cuisine libanaise à Neuilly-Sur-Seine
Samah, le meilleur de la cuisine libanaise à Neuilly-Sur-Seine © Radio France - David Kolski

Direction Neuilly-Sur-Seine pour retrouver non pas une mais deux adresses gourmandes qui nous offrent le meilleur de la cuisine libanaise. Une cuisine épicée mais pas relevée : "Ce n'est pas piquant. On sent un petit goût relevé mais ça ne pique pas. Quelqu'un qui ne mange pas de piment, il peut manger libanais" nous explique Ali. D'un côté un restaurant, de l'autre une épicerie, la famille s'étend sur Neuilly-Sur-Seine : "On fait comme le Monopoly, on investit la rue ! Ca se passe très bien, on est content. En plus on est né dans cette ville, on est né à Neuilly-Sur-Seine, on habite à Neuilly. C'est une ville qu'on aime beaucoup"Samah, c'est donc une histoire de famille, à tel point que le nom du restaurant est le prénom de la seule fille de la famille.

Samah Traiteur
Samah Traiteur © Radio France - David Kolski

Au menu du restaurant : mezzés (ensemble de plat servi simultanément) chaud et froid, salades ou encore sandwichs et tout ça à des prix accessibles. Et c'est une véritable volonté : "Nos prix sont accessibles à tout le monde. En plus, c'est très bien pour les gens qui ont une carte Ticket Restaurant, ça rentre dans leur budget".

L'épicerie de Samah
L'épicerie de Samah © Radio France - David Kolski

De l'autre côté de la rue, c'est donc une épicerie, "L'épicerie de Samah" : "Les gens peuvent venir manger et en même temps, ils regardent les produits. On leur donne quelques techniques pour bien cuisiner". Et l'épicerie regorge de trésors typiques du Liban comme l'eau de fleur d'oranger, les fruits secs libanais ou encore le zaatar, du thym séché mélangé à du sésame grillé, du sumac et du sel.

Aguttes : dans le monde des ventes aux enchères

La maison de vente aux enchères Aguttes
La maison de vente aux enchères Aguttes © Radio France - David Kolski

Maison créée en 1974 à Clermont-Ferrand, la salle des ventes aux enchères est à Neuilly-Sur-Seine depuis 1995. Mais les ventes aux enchères, comment ça marche ? Philippine Dupré La Tour, directrice générale de la Maison Aguttes, nous le confirme, les ventes aux enchères, c'est accessible à tout le monde : "C'est pas compliqué du tout. On a 15 experts dans différents départements et il suffit de les solliciter pour obtenir une estimation gratuite. Et en fonction de ça, vous déciderez si vous voulez mettre les objets à la vente". Et clairement, la vente aux enchères, c'est une expérience : "Il y a une effervescence, une magie au moment des enchères. On invite les clients à venir en salle, c'est quelque chose d'assez unique".

Philippine Dupré La Tour, directrice générale de la maison de ventes aux enchères Aguttes
Philippine Dupré La Tour, directrice générale de la maison de ventes aux enchères Aguttes © Radio France - David Kolski

Quant au métier de commissaire-priseur, il est loin des clichés. Sophie Perrine officie aujourd'hui à la maison Aguttes. Son meilleur ami : le marteau ! Et elle ne le lâche jamais et pour cause : "Le coup de marteau traduit la vente. En France, il y a un examen, une habilitation spéciale, pour être reconnu commissaire-priseur. A l'étranger, ce sont des commerçants qui peuvent faire la vente mais en France, il y a un diplôme qui sanctionne cette fonction. On est assermentés en judiciaire". En présentiel ou alors à distance via écrans ou par téléphone, le métier de Sophie a bien évolué : "Ca a beaucoup évolué. Ca fait 20 ans que je fais ce métier. Il y a des salles où il y avait 150/200 personnes. Aujourd'hui, les 200/300 personnes sont derrière l'écran". Et c'est un véritable rôle d'animation que le métier de Sophie Perrine : "Il faut mettre de l'ambiance, suscité l'envie d'acheter, décrire le lot. Mais le but du commissaire-priseur, c'est d'animer, dynamiser tout le monde, réveiller tout le monde".

Sophie Perrine, commissaire-priseur
Sophie Perrine, commissaire-priseur © Radio France - David Kolski

Vente de David Kolski, coulisses d'une maison de vente : vous allez tout savoir dans notre podcast France Bleu Paris !

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