Thierry Sagardoytho
En mai 1939, des bergers souletins découvrent les corps décapités de deux hommes sur les hauteurs du village de Sainte-Engrâce. Qui sont ces deux hommes sans papier d’identité et surtout, qui leur a fait la peau ? L’enquête débute.
Un matin blafard de novembre 1976, l’agence paloise de la Société Générale est la cible d’un braquage. Le malfaiteur a l’air parfaitement entraîné, mais l’opération ne se passe vraiment pas comme prévu. Qui est ce drôle de malfaiteur ?
Dimanche 18 mai 2014, une jeune femme appelle au secours sur le bord de la route reliant Saint-Pée-Sur-Nivelle à Biarritz. Sa fillette est en état de détresse respiratoire et sa survie serait une question de minutes. Que s’est-il passé ?
Au matin du 30 juin 1994, trois malfaiteurs braquent et prennent en otage le boulanger de Geüs d’Oloron, ses proches et ses employés. Le butin est maigre, mais l’agression va bouleverser durablement les huit victimes. Qui sont ces malfaiteurs visiblement bien renseignés ?
En août 2011, le docteur Nicolas Bonnemaison est mis en examen par un juge d’instruction de Bayonne qui suspecte ce médecin urgentiste quinquagénaire, en fonction à l’hôpital de la Côte basque, d’avoir empoisonné quatre de ses patients. Quel sort l’attend ?
En août 2011, les enquêteurs de la Police Judiciaire interpelaient sur son lieu de travail, le docteur Nicolas Bonnemaison, un médecin urgentiste de l’hôpital de Bayonne, qu’ils suspectent d’avoir empoisonné quatre de ses patients.
Le 15 juin 1944, cinq résistants sont abattus par les allemands dans un bois de la commune d’Idron. L’un d’eux n’a jamais été identifié. 65 ans plus tard, Eric Amouraben (policier palois) rouvre le dossier afin de rendre son nom et son honneur à ce martyr anonyme.
Le paisible village de Sare est sous le choc en ce matin du 20 mars 1869. Trois malfaiteurs se sont introduits la veille dans la demeure du docteur Dithurbide, tuant l’un des domestiques avant de prendre la fuite.
Au matin du samedi 29 mai 1948, les policiers découvraient le corps tuméfié d’une mamie habitant un immeuble des bas-fonds de Bizanos. Celle que chacun surnommait ici la mère Croquignol était si pauvre qu’il n’y avait rien à voler chez elle…
1er mars 1984, les policiers s’apprêtent à interpeller l’un des chefs d'Iparetarrak dans le quartier bayonnais des Arènes. L’opération va hélas tourner au drame. Un coup de feu blesse mortellement un certain Didier Lafitte. Une balle perdue, selon la police. Une exécution, selon ses proches.
En septembre 1948, le maire de Louvie-Juzon reproche à l’un de ses administrés de répandre des accusations malveillantes à son encontre. Il porte plainte en diffamation auprès du tribunal d’Oloron… au risque de mettre le feu aux poudres.
Samedi 20 février 2016, Kévin et Sofiya, deux jeunes d’Hasparren, se présentent au portail de la gendarmerie. À les écouter, un drame vient de se produire au domicile des parents du jeune homme à Labastide-Clairence. Son père et sa mère ont été abattus à coups de pistolet.
En ce mois de février 1935, d’étranges rumeurs circulent au centre-ville de Pau selon lesquelles Emilien Cacarrié, un artisan-orfèvre, fabriquerait en cachette de fausses pièces de 20 francs dans son petit atelier de la rue Duboué. Rumeurs ou vérité ? Les policiers enquêtent…
Au village de Briscous, Pierre Hirigoyen n’a plus donné signe de vie depuis la soirée du 17 juillet 1936. Marie, sa sœur, est inquiète. Lorsqu’elle pénètre dans la ferme Alcéténia, une véritable scène d’horreur l’attend. Qui a tué le vieil homme et pourquoi ?
En avril 2000, Rodolphe, un jurançonnais de 28 ans, laisse ses proches sans nouvelle. L’inquiétude monte au fil des jours jusqu’à ce que Jeanine, sa mère, se décide à faire ouvrir son appartement. Ce qu’elle va découvrir soulève le cœur.
Dans la soirée du 12 janvier 2009, les soldats du feu sont appelés pour lutter contre l’incendie qui ravage un immeuble du centre historique de Bayonne. Le bilan humain est lourd : une habitante meurt asphyxiée en essayant de fuir son appartement. L’incendie est-il accidentel ou criminel ?
Au matin du 1er janvier 1929, les habitants du petit village Aspois d’Etsaut sont inquiets, car les volets de la maison habitée par la veuve Brandao demeurent désespérément clos. Cette alerte mamie septuagénaire se lève pourtant habituellement aux aurores.
Au matin du samedi 13 décembre 2003, les policiers Luziens découvraient le corps ensanglanté d’une habitante d’Urrugne. Avant de s’éteindre, la malheureuse lâche le prénom de celle qui l’a poignardée : Myriam. Qui est cette tueuse en jupon ?
Où est passée Marie-Claire Lanne Touyaguet ? Vendredi 13 décembre 2013, cette infirmière de 54 ans employée dans un EPHAD à Garlin, dans le nord du Béarn, ne donne soudain plus signe de vie depuis la veille. Ce silence inquiète certains de ses proches qui ne tardent pas à donner l’alerte…
Au matin du 1er janvier 1996, les policiers de Saint Jean-de-Luz découvraient le cadavre d’un père de famille lardé de 9 coups de couteaux dans une rue sombre proche du centre-ville. Deux témoins ont assisté à la scène, mais le meurtrier a déjà disparu. Qui est-il ?
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