Dans le rétro : Jane Birkin

Le coup de promo 

Le coffret intégral 1969/2022, c’est toute la carrière de Jane Birkin avec, en filigrane, les souvenirs d’une époque chic et choc. Il y a un grain de folie, une pointe de nostalgie, une part de mélancolie, de la légèreté, de la sensualité.  

Jane Birkin vous donne aussi rendez-vous en tournée : Chartres le 7 octobre, Bobigny le 21, Roubaix le 23, Clermont-Ferrand le 12 novembre ou encore Blois le 20 novembre. Retrouvez toutes les dates sur le site officiel de Jane Birkin. 

Pour accompagner le coffret et la tournée, il y a un livre aussi. Les chansons expliquées, la carrière décryptée, c'est l'ultime guide du fan que vous propose "Jane Birkin, album par album". 

Dans cet épisode de l'émission "Dans le rétro" : 

"J'ai eu énormément de chance dès le départ d'avoir été aimée. Mais on se demande tout le temps si on le mérite."  

"Les imperfections ? Bien sûr que c'est bien !"  

"Je me suis habituée à la mort de Serge [Gainsbourg] depuis 30 ans. Mais à force de voir les photos et les souvenirs, je n'aurais pas pensé que son absence serait encore aussi douloureuse."  

"Pourquoi on ne met pas les tableaux du Louvre sur les murs des hôpitaux ? Il y aurait des Rembrandt à contempler quand on attend des résultats sur des brancards…"  

"C’est difficile de vivre avec Gainsbourg, mais qui veut la facilité ? C’est d’un ennui."  

"Il n'y a pas eu de cérémonie pour la mort de Serge, il n'y a pas eu d'Eglise, il n'y a pas eu de chefs d'état quand on l'a mis en terre. Mais il y avait un désir populaire."

"Il ne faut pas négliger les meilleures amies, c'est presque aussi bien que des maris."   

"Il parait que le manque, c'est le seul mal qui ne part pas."