Sutarni habite à Orléans... près d’Ottawa
Au micro de Sophie Scarpula, Sutarni nous raconte son parcours, son arrivée, son environnement préservé, la nature qu’elle apprécie et qui est très généreuse, sans oublier la gastronomie.
Le départ vers l’ailleurs
Sutarni a grandi dans les Yvelines et poursuivi ses études à Paris, du côté de Châtelet, de la Bibliothèque François Mitterrand, ou encore de Montparnasse.
Mais très vite elle a besoin d’un lieu de vie quelque part où on parle anglais au quotidien. Son conjoint ayant de la famille au Canada, la destination est toute trouvée.
En 2015, ils font une demande de résidence. Pour entrer au Canada, il faut fournir un certain nombre d’informations qui sont ensuite converties sous forme de points, c’est le programme Entrée Express.
En 2019, Sutarni et son conjoint atterrissent à Ottawa.
L’arrivée à Ottawa
L’arrivée s’est faite en 2 fois. Une première fois en décembre 2018 pour se présenter et valider sa résidence permanente, c’est la règle quand on reçoit l’accord pour immigrer au Canada.
La “vraie” arrivée a lieu en juillet 2019. Clin d’œil du destin qui ne rompt pas tout à fait le lien avec la France… Saturni s’installe dans une ville au nom d’Orléans, dans un quartier composé pour beaucoup d’immigrants.
Tout le monde est un peu nouveau, c’est très cordial
Saturni fait sa place, doucement, au milieu d’une population réservée mais bienveillante.
Les parisiens vus d'Ottawa
Contrairement à Montréal où il y a une très forte communauté parisienne, un peu trop selon les canadiens, ici à Ottawa il n’y en pas trop.
Finalement les gens n’ont pas d’avis préconçus
Mais Paris fait toujours rêver avec sa Tour Eiffel, la nourriture, la culture...
Sa vie à Orléans
Si un jour, vous devez vous rendre à Orléans près d’Ottawa, Sutarni vous conseille de vous rendre dans la réserve d'Ottawa et son petit coin au nom d’’île de Pétrie où vous pourrez même vous baigner... si le temps le permet.
Et puis il y a aussi la “ceinture verte”, une région protégée, sans aucune construction, avec une faune et une flore très particulière et bien sûr la colline du parlement, lieu central du pouvoir
Pour Sutarni, il ne faut pas suivre un guide mais “accepter de se perdre dans les allées”. L’occasion de découvrir aussi l’art mural assez présent en Ottawa.
Dans le reste de notre podcast, Sutarni nous présente l’architecture et la gastronomie de sa région et nous confie à quelle point les boulangeries françaises lui manquent !