L'ozone, un gaz découvert par un chimiste hollandais

Nous sommes en 1789. Alors qu’il faisait passer un courant électrique à travers de l’oxygène dans une éprouvette fermée, un chimiste hollandais a alors repéré une odeur comparable à celle de l’acide sulfurique ou du phosphore qu’il pensait être l’odeur de l’oxygène. 

L’étude est reprise en 1840 par Schönbein, un chimiste allemand, qui isole une molécule de ce gaz, qu’il va appeler ozon, du grec ozein, désignant le fait de dégager une forte odeur et on retiendra le mot ozone en français.  

On s’est aperçu depuis que l’ozone pouvait être produit par les éclairs d’orage et surtout qu’à 25 km d’altitude, se trouve une couche d’ozone vitale qui nous protège des rayons ultraviolets du soleil.  

Aussi, en 1987, un protocole international était signé pour éliminer les substances détruisant la couche d’ozone d’où aussi cette Journée internationale. Aujourd’hui, les substances détruisant la couche d’ozone ont été considérablement réduites, et le danger est grandement écarté ! Ouf…on respire ! 

Ce qui n’empêche pas de surveiller la qualité de l’air avec Airparif 

Un terme composé du mot Air et de parif qui agglutine Paris et Île-de-France.  

Airparif surveille donc la qualité de l’air depuis 1979. C’est une association à but non lucratif agréée par le ministère de l’environnement. 

Et depuis la loi sur l’air du 30 décembre 1996, Airparif a une quadruple mission : surveiller l’air respiré par les Franciliens, comprendre la pollution atmosphérique et ses impacts, puis accompagner les Franciliens et les partenaires d’Airparif, et enfin penser l’avenir.