Santé - Sciences - Loiret

Du 14 au 16 mai, le "bus du glaucome" est installé sur la place du Général de Gaulle à Orléans. Ce car itinérant propose des consultations ophtalmologiques gratuites et sans rendez-vous, dans les départements en situation de désert médical.

Nouvelle situation tendue au CHU d'Orléans. Ce mardi 7 mai, aux urgences, l'équipe du matin a exercé son droit de retrait, pour dénoncer le manque de personnel dans les différents services de l'hôpital.

C'est une énième solution pour lutter contre le manque de médécins en Centre-Val de Loire. L'association Médécins Solidaires va s'engager à mettre à disposition ses adhérents pour faire fonctionner des cabinets médicaux dans chacun des 6 départements de la région d'ici 2026.

C'est une nouveauté pour l'offre de santé sur l'Orléanais. D'anciens médecins et infirmières des urgences de l'hôpital de La Source créent leur propre structure. Ce nouveau centre de soins non-programmés ouvrira début avril. Il sera ouvert 7 jours sur 7, uniquement sur rendez-vous.

La Maison des femmes d'Orléans, créée en 2021 au sein du CHU à La Source, a besoin de financements pour s'agrandir et recruter du personnel. Elle a organisé, dans ce but, une soirée réservée aux mécènes, jeudi soir, qui a permis de récolter 75.000 euros.

Passionnés d'astronomie ou simples curieux, levez les yeux au ciel ! La comète 12P/Pons-Brooks, aussi appelée "comète du diable", est observable pour plusieurs semaines dans le ciel, un évènement qui n'arrive que tous les 71 ans. Les passionnés de l'Astro Club d'Ouzouer-sur-Loire en ont profité.

Les élus de la Métropole d'Orléans ont adopté ce jeudi soir, à l'unanimité, un voeu à l'adresse de l'Agence Régionale de Santé pour que tout le territoire passe en ZIP, zone d'intervention prioritaire. Objectif : répondre au manque criant de médécins de façon homogène sur la métropole.

Le centre de soins non programmés du Malesherbois, ouvert ce lundi 19 février, a accueilli ses premiers patients. Qui, souvent, font part de l'absence d'un médecin traitant dans leur suivi médical.

Ouvert depuis 2015, le cabinet d'Ambre Acoulon va fermer ses portes le 15 mars prochain. En neuf ans d'exercice, la sage-femme a peu à peu vu le Pithiverais se vider de ses établissements et professionnels de santé, au point de se retrouver isolée et épuisée.

Face à la désertification médicale, l'association des maires du Loiret renonce finalement à poursuivre l'État. Elle avait pourtant menacé de porter plainte pour non-assistance à personne en danger.

Le déficit enregistré par le CHU d'Orléans sur l'année 2023 s'élève à plus de 50 millions d'euros, c'est ce que vous révélait France Bleu Orléans il y a une semaine. L'Agence régionale de santé réagit ce lundi 22 janvier, reconnaissant des difficultés mais assurant l'hôpital de son soutien.

Face à la désertification médicale, l'association des maires du Loiret avait annoncé en juillet 2023 qu'elle porterait plainte contre l'Etat, pour non-assistance à personne en danger. 6 mois après, la plainte n'a toujours pas été déposée et il est probable que le dépôt de plainte n'ait jamais lieu.

Présentée au départ comme un centre municipal de santé, la future structure des Blossières à Orléans combinera en fait un cabinet classique de médecins libéraux et un centre de santé multidisciplinaire avec des salariés embauchés par Sagéo Services. Ouverture espérée à l'été 2024.

En 2023, l'hôpital d'Orléans a enregistré un déficit de 52 millions d'euros, ce qui porte sa dette globale à 150 millions d'euros. Mais la direction espère s'en sortir par le haut, avec davantage d'activité, en misant sur la dynamique du passage en CHU.

Pour la première fois en Centre-Val de Loire, les autorités sanitaires lancent un programme pour soutenir les femmes qui souffrent d'endométriose. Des professionnels de santé du Montargois veulent mieux accompagner les malades en prenant mieux en charge la douleur.

Noël et la Saint-Sylvestre approchent à grands pas. Ce sont deux occasions de faire la fête, parfois avec un petit peu plus d'alcool que d'habitude, mais il faut rester prudent, selon Damien Labarrière, responsable du service addictologie au CHU d’Orléans, ce mercredi 20 décembre.