Santé - Sciences - Territoire de Belfort

Débusquer et endiguer les sources de tension, de conflit, parfois engrammées en nous depuis de très nombreuses années, voilà l'un des objectifs de la kinésiologie.

Le projet de loi sur la fin de vie a été présenté ce mercredi au Conseil des ministres. Parmi les conditions pour bénéficier de cette aide à mourir : un discernement complet, ce qui exclut les patients atteints de maladies psychiatriques ou neurodégénératives, comme l'Alzheimer.

L'animal comme médiateur thérapeutique, pour nous accompagner vers un mieux-être, regagner de la confiance en nous, nous guider vers le chemin de la guérison, de l'acceptation, c'est aussi cela l'équithérapie

La commune de Danjoutin devient ville ambassadrice du don d'organe ce jeudi. Le sujet reste pourtant tabou chez une partie de la population du Nord Franche-Comté.

Le gouvernement envisage la fin du remboursement à 100% sur le coût des ALD, les affections de longue durée. Des modifications ne peuvent se faire qu'à la marge pour Christian Sylvain, le président de l'ordre des médecins de Haute-Saône.

C'est une nouvelle initiative pour lutter contre les déserts médicaux, un centre de santé éphémère va ouvrir ses portes ce lundi à Bessoncourt à coté de Belfort. Un projet porté par l'association d'aide à domicile Amaelles, le premier collectif français d'aide et de soins à la personne

L'ouverture d'un centre de santé éphémère à Bessoncourt est prévue pour le 4 mars. Objectif : combler le vide laissé par le départ à la retraite de plusieurs médecins. Le projet est porté par l'association Amaelles du Territoire de Belfort.

A l'occasion d'une journée nationale des infirmiers libéraux en colère menée dans plusieurs villes de France, une quinzaine d'entre eux ont manifesté en début d'après-midi à Belfort pour réclamer une revalorisation salariale et une reconnaissance de leur statut.

Des jeux "plasma-lympiques" pour encourager les Francs-Comtois à donner leur plasma ! C'est une initiative de l'Etablissement Français du Sang de Bourgogne-Franche-Comté. Objectif : récolter 26 700 poches de dons, et sensibiliser le plus de monde possible à l'importance du plasma.

Fort d'un nouveau plan d'action pour faciliter l'accès aux soins, le directeur de l'hôpital public Nord Franche-Comté Pascal Mathis veut rassurer les patients récents passés par l'établissement, au-delà des critiques.

L'Agence Régionale de Santé (ARS) a annoncé un plan d'action pour faire face aux difficultés de la prise en charge des patients aux urgences de l'hôpital. Toutes ces mesures ont été détaillées par l'ARS ce jeudi en fin d'après-midi. Objectif : faciliter l'accès au soin.

La présence des chiens ou des chats auprès des pensionnaires des EHPAD est étudiée par les députés et les sénateurs. Le débat mérite d'exister mais sous conditions pour Robert Creel, le directeur général de la fondation Pompidou à Belfort

De plus en plus de Français tentent le défi du mois de janvier sans alcool, ou "Dry january". Mais sans alcool ne veut pas dire sans goût. À Belfort, les boissons sans alcool se répandent peu à peu dans les bars et les caves.

La situation très tendue au service des urgences à l'hôpital Nord Franche-Comté, à tel point que l'établissement va recevoir à partir de ce mercredi le renfort de la réserve sanitaire nationale : trois médecins, dix infirmiers et dix aides-soignants. Du jamais vu s'alarment les syndicats.

L'hôpital nord Franche-Comté alerte sur une situation de tension exceptionnelle aux urgences et va recevoir le renfort d'une vingtaine de soignants de la réserve sanitaire nationale. Ce lundi matin, une cinquantaine de patients attendaient un lit d'hospitalisation depuis le week-end.

Certains médecins sont dans le collimateur de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie. Dans le Territoire de Belfort, trois d'entre eux ont été épinglés pour avoir prescrit trop d'arrêts maladie, une chasse aux arrêts dits de complaisance qui met en colère le syndicat de médecins MG France