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FC Nantes : Waldemar Kita écope d'une lourde suspension pour son comportement lors du match face au Paris SG

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Le président du FC Nantes, Waldemar Kita, a été suspendu quatre mois, dont deux avec sursis, ce mercredi soir, par la Commission de discipline de la LFP suite à son "comportement" à la fin de la rencontre face au Paris Saint-Germain, le 31 octobre dernier, à l'encontre du corps arbitral.

Le président du FC Nantes, Waldemar Kita, a été suspendu pour quatre mois, dont deux avec sursis, par la LFP suite à son "comportement" envers les arbitres lors de la rencontre face au PSG. Le président du FC Nantes, Waldemar Kita, a été suspendu pour quatre mois, dont deux avec sursis, par la LFP suite à son "comportement" envers les arbitres lors de la rencontre face au PSG.
Le président du FC Nantes, Waldemar Kita, a été suspendu pour quatre mois, dont deux avec sursis, par la LFP suite à son "comportement" envers les arbitres lors de la rencontre face au PSG. © Maxppp - Franck Dubray

La sanction était redoutée et elle est, pour le moins sévère. Le président du FC Nantes, Waldemar Kita, a été suspendu quatre mois, dont deux avec sursis, par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel suite à son "comportement" envers les arbitres à l'issue du match face au Paris Saint-Germain, le 31 octobre dernier

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"Des actes d'intimidations envers le corps arbitral"

Visiblement agacé à l'issue de la défaite des Canaris dans leur antre, le président nantais s'en était pris au corps arbitral, à qui il reprochait notamment un penalty généreux accordé aux coéquipiers de Kylian Mbappé. "Après instruction du dossier, audition du corps arbitral et de M. Waldemar Kita, la Commission de discipline décide de sanctionner M. Waldemar Kita de quatre mois de suspension dont deux mois avec sursis, de banc de touche, de vestiaire d'arbitres et de toutes fonctions officielles", détaille la LFP.  

Dans la foulée de l'annonce de cette suspension qui prendra fin au début de l'année prochaine, le syndicat des arbitres du football d'élite (Safe) a fermement réagi. "Si le vestiaire d'un arbitre peut le cas échéant être un lieu d'échanges et de débats courtois après match, on ne saurait y tolérer des actes d'intimidations envers le corps arbitral. Faut-il le rappeler, on ne touche pas à un arbitre", déplore le syndicat dans un communiqué.  de son côté réagi, dans un communiqué, le syndicat des arbitres du football d'élite (Safe). Mais l'affaire pourrait ne pas en rester là puisque le patron des Jaune et Vert a encore la possibilité de faire appel de cette décision. 

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