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DFCO - Au cœur des Rouges : après Dall'Oglio, le déluge ?

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Deux jours après l'annonce de l'éviction d'Olivier Dall'Oglio, c'est l'inquiétude, encore et toujours, qui prédomine chez les supporters du DFCO. Plusieurs noms de remplaçants sont évoqués, dont celui d'Antoine Kombouaré, fraîchement licencié par le club de Guingamp.

© Maxppp - Johan BEN AZZOUZ

Les commentaires acides à l'égard du président Olivier Delcourt sont toujours aussi nombreux. C'est "une erreur abyssale" pour Gus sur Twitter, un président tombé dans le piège d'une décision brutale, "pour créer l'électrochoc", dit-il, mais cette solution ne fait pas toujours ses preuves, loin s'en faut. 

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Finalement c'est toute la dimension familale, humaine, de club d'éducateurs du DFCO qui est mise en péril selon les auteurs du Dijon Show. Pour eux, Dijon cherche avant tout un pompier de service, au mépris de l'ADN du club, d'un véritable projet de long terme, projet qu'Olivier Dall'Oglio incarnait mieux que personne.

Alors, qui pour succéder à ODO ?

Et la question ce matin c'est : qui ?  Qui pour remplacer le très apprécié Olivier Dall'Oglio ? Manifestement, les pistes qui commencent à apparaître ne rassurent personne sur les réseaux sociaux. La plus sérieuse, on la retrouve en une du quotidien sportif l'Equipe en date du 1er janvier. Antoine Kombouaré serait la cible privilégiée d'Olivier Delcourt. A 55 ans, l'ancien joueur du PSG est libre de tout contrat.

Il vient d'être limogé de son poste d'entraîneur à Guingamp après un début de saison catastrophique, mais son nom serait donc dans les petits papiers dijonnais. "C'est la pire chose qui pourrait vous arriver", prévient un supporter guingampais qui précise  : "il préfère le golf et l'argent au football donc malgré certains talents de coach qu'il faut quand même reconnaître, il restera tjr limité du fait de son manque d'implication".  De quoi entretenir la méfiance généralisée chez les supporters dijonnais. 

L'argent, c'est sans doute ce qui pourrait freiner l'arrivée d'Antoine Kombouaré à Dijon : Selon les fans sur Twitter, il gagnait à Lens et à Guingamp dans les 100.000 euros par mois, et il n'est pas sûr que cette somme soit compatible avec le budget dijonnais, particulièrement contraint.  

Girard, Dupraz, Garande...

D'autres noms de techniciens circulent sur le marché. C'est le cas de René Girard, l'ancien entraîneur champion de France avec Montpellier ; on a Pascal Dupraz, adepte des discours musclés dans les vestiaires de son ancien club Toulouse, ou encore Patrice Garande, qui entraînait Caen il y a encore quelques mois. Des hommes pas vraiment célèbres pour leur côté humain, mais plutôt pour leur poigne, leur capacité à bouger leurs joueurs.

Commentaire de Gus, encore lui, sur Twitter, "Je vous préviens, si vous nous infligez un de ces 4 là, ça va chier.Le seul moyen de réparer votre erreur est d'engager un entraîneur capable de lancer un nouveau cycle. Pas un de ces escrocs."

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