Bordères-sur-l'Échez (65320)

La ville : Bordères-sur-l'Échez

Quelles sont les caractéristiques de la démographie de Bordères-sur-l'Échez

Bordères-sur-l'Échez s'étend sur une superficie de 16,14 kilomètres carrés. En 2018, on chiffrait à 5 340 le nombre d'habitants de la ville, ce qui représente une densité de population évaluée à 330,9 habitants par km². Cette localité avait alors l'une des densités de population les plus grandes du département des Hautes-Pyrénées.

Quelles sont les caractéristiques des logements de Bordères-sur-l'Échez

Pour loger ses 5 340 habitants, Bordères-sur-l'Échez dénombre environ 2 400 logements répartis sur 16,14 km². La municipalité a une très faible densité résidentielle mais une assez forte densité de population (respectivement 1,5 log/ha et 330,9 hab/km²). Elles sont toutes deux supérieures à celles du département (50,7 habitants/km² et 0,4 log/ha).

Quelques chiffres à connaître sur la répartition des logements de la municipalité

Dans la localité, on comptabilise actuellement une plus grande part de propriétaires que de locataires : 28,9 % des résidences principales sont occupées par des locataires (dont 1 % à titre gracieux) alors que 71 % sont occupées par des propriétaires. Parmi les habitations de Bordères-sur-l'Échez, 0,9 % sont des résidences secondaires, 7,6 % des logements vacants et 91,4 % des résidences principales. Par ailleurs, 13,2 % de ces dernières sont des logements sociaux. La majorité des 2 202 ménages se sont installés au sein de la municipalité depuis 30 ans ou plus.

Découvrez quelques informations pratiques sur les pièces des logements de la municipalité

Parmi les logements de la municipalité, on trouve une très grande majorité de maisons (88,3 %). Les maisons familiales de 4 pièces sont les plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 37,2 % de ces dernières et ont une surface majoritairement comprise entre 80 et 100 m². On trouve également de nombreuses maisons familiales de 5 pièces (31,3 %). Les appartements, moins nombreux (250), sont principalement composés de 3 pièces. Leur surface moyenne est le plus souvent comprise entre 60 et 80 m². Par ailleurs, on peut remarquer que les maisons et les immeubles de Bordères-sur-l'Échez ont principalement été construits entre 2006 et 2015.

Caractéristiques de l'imposition sur le revenu à Bordères-sur-l'Échez

La municipalité de Bordères-sur-l'Échez décompte un total de 3 043 foyers fiscaux. Parmi eux, 55,4 % sont en dessous du seuil imposable. Ce taux est légèrement supérieur à celui des Hautes-Pyrénées qui est de 54,5 %. Les ménages fiscaux ont un revenu médian annuel de 19 960 €, soit 760 € de moins que celui du département. Les habitants de Bordères-sur-l'Échez paient en moyenne un impôt sur le revenu de 893 € par foyer fiscal. Ce dernier est donc plus faible que celui du département qui s'élève à 994 €. D'autre part, 36,7 % des foyers déclarent percevoir une retraite ou une pension.

Le pourcentage de l'impôt sur le revenu payé par les foyers fiscaux déclarant un revenu fiscal de référence au-dessous de 50 000 euros s'élève à 45,3 %. Les foyers ayant un revenu annuel supérieur à 100 000 euros contribuent à hauteur de 17,4 % à l'impôt net total.

Découvrez quelques informations pratiques à propos de l'emploi à Bordères-sur-l'Échez

Sur les 3 212 habitants de 15 à 64 ans que comptait Bordères-sur-l'Échez en 2018, 2 316 étaient actifs, soit un taux d'activité de 72,1 %. En proportion, il y avait alors à peu près autant d'actifs qu'au niveau national, où le taux d'activité s'élevait à 71,9 %.

On comptabilisait 298 chômeurs parmi la population active de la localité, le taux de chômage était donc de 12,87 %. C'est 3,77 points de plus que dans l'ensemble du pays, où le taux de chômage atteignait 9,1 %.

Taux de chômage par CSP à Bordères-sur-l'Échez

En 2018, à Bordères-sur-l'Échez, le plus fort taux de chômage était celui des ouvriers : 23,43 % étaient au chômage. La part de chômeurs chez les autres CSP atteignait 15,38 % pour les employés, 8,15 % pour les commerçants, artisans et chefs d'entreprises et 7,22 % pour les professions intermédiaires. Sur 213 cadres, aucun n'était sans travail.