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Le nouvel équarisseur en Dordogne tente de rassurer

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La société Atemax a repris le marché de l'équarissage en Dordogne depuis le mois de janvier, non sans provoquer la polémique dans le département. Délais respectés, respect des normes sanitaires : Atemax tente de rassurer les éleveurs.

Six camions Atemax comme celui-ci assurent les tournées de ramassage des carcasses.
Six camions Atemax comme celui-ci assurent les tournées de ramassage des carcasses. © Radio France - Sophie Constanzer

Les éleveurs ont eu besoin de quelques semaines pour s'habituer : après des années avec Saria industries à Chalagnac, ils donnent leurs animaux morts à la société Atemax d epuis le début du mois de février. Le changement de prestataire a provoqué une vive polémique. Saria industries avait dénoncé le non respect des normes sanitaires de son concurrent.

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En effet, une aire logistique a été mise en place à Boulazac dans la zone industrielle pour assurer le transit des carcasses, puisque la société Atemax est basée à Agen . Il ne s'agit donc pas d'un centre de stockage comme celui de Chalagnac. Mais Atemax veut montrer patte blanche. Normes sanitaires, respect des délais, formation des chauffeurs : Atemax veut aujourd'hui rassurer.

Les caissons qui contiennent les animaux morts sont étanches et sur pieds, pour éviter tout contact avec le sol.
Les caissons qui contiennent les animaux morts sont étanches et sur pieds, pour éviter tout contact avec le sol. © Radio France - Sophie Constanzer
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15.000 éleveurs ont recours à l'équarissage en Dordogne, ce qui représente près de 4.000 tonnes d'animaux morts par an.

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