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Croc-blanc, l'animal légendaire de Jack London, reprend vie dans un film d'animation 3D

À retrouver dans l'émission
Une heure en France
Du lundi au vendredi de 13h à 14h
- Mis à jour le
Par
  • France Bleu

Frédérique Le Teurnier et Denis Faroud s’intéressent également à de faux gendarmes en alu installés en Vendée et à un maître chocolatier qui réalise des sculptures géantes en chocolat

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Au sommaire aujourd’hui :

- Croc-blanc. L'animal légendaire de Jack London reprend vie dans un film d'animation3D

- Le système D.A.V.E. De policiers en carton le long des routes herbretaises

- Des sculptures en chocolat. Des plus de 150 kg tout de même

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Croc-Blanc est de retour sur grand écran aujourd’hui, mercredi 28 mars. Un film France Bleu.

Croc-Blanc est un fier et courageux chien-loup. Après avoir grandi dans les espaces enneigés et hostiles du Grand Nord, il est recueilli par Castor Gris et sa tribu indienne. Mais la méchanceté des hommes oblige Castor-Gris à céder l’animal à un homme cruel et malveillant. 

Sauvé par un couple juste et bon, Croc-Blanc apprendra à maîtriser son instinct sauvage et devenir leur ami

Bande annonce - Croc-Blanc, au cinéma le 28 mars

L'animal légendaire de Jack London reprend vie dans un film d'animation 3D qui allie la motion capture et la key frame. La première technique a été utilisée essentiellement pour les personnages humains mais aussi pour certains mouvements de chiens. Le reste des chiens ont été animés avec la deuxième technique.

Le film a été en partie réalisé et produit en Nouvelle-Aquitaine par la filière charentaise de Superprod. 7 studios d'animation français ont travaillé sur le projet.

Son élaboration a duré 2 ans et a nécessité un important budget de 12 millions d'euros.

► Pour en parler : Jérémie Fajner, producteur du film

► A gagner : 200 places de cinéma pour voir le film Croc Blanc 

► A écouter : Virginie Efira invitée de France Bleu Soir

► Aller + loin : le site internet des studios Superprod

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Pour faire réagir différemment l’automobiliste (vitesse, comportements dangereux), la police municipale des Herbiers teste un nouveau système de prévention routière atypique sur certains axes de la commune. 

Il s’agit de positionner des silhouettes de policiers, dénommés « D.A.V.E » dans des endroits accidentogènes. Cela veut dire « Dispositif Anti-Vitesse Excessive ». Ce prénom personnalise la silhouette, à l’instar des « S.A.M » (Sans Accident Mortel) de la sécurité routière.

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Expérimentés en Belgique depuis 2014, ces leurres anti-infractions donnent des résultats intéressants. Selon l’I.B.S.R (La sécurité routière belge), ce dispositif ferait baisser la vitesse d’au moins 5 km/h tandis que le taux d’infractions chuterait de 50%...

Un concept pédagogique et peu coûteux

Pour moins de 1.000 €, deux silhouettes assurent un rôle préventif là où le besoin se fait sentir : proximité des établissements scolaires, axes dangereux, zone où un radar classique ne peut être installé, zone de travaux,… 

Pour choisir ces lieux, le service de police s’appuie sur sa connaissance du terrain mais aussi sur les chiffres de l’accidentologie routière des sapeurs-pompiers ainsi que sur les mesures des enregistreurs de vitesse des services techniques de la ville des Herbiers.

Cependant, comme toute dissuasion passive, ce système a des limites. C’est pourquoi les leurres ne sont positionnés que quelques heures au même endroit et sont déplacés régulièrement pour ne jamais accoutumer l’automobiliste à sa présence et éviter par la même occasion, d’éventuelles malveillances.

La police municipale des Herbiers rappelle que le déplacement ou le vol de ces silhouettes est un délit ». Pour éviter d’en arriver là, les pancartes sont lester, accrocher sur du mobilier urbain et retirées la nuit.

► Pour en parler : Hervé Perton, chef de la police municipale

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A l’occasion des fêtes de Pâques, Eric Thévenot réalise toujours de très impressionnantes sculptures en chocolat.

Après les pandas en 2016 et les rhinocéros en 2017 en hommage à celui abattu au zoo de Thoiry, le sculpteur et pâtissier chocolatier mise cette année sur le côté humoristique

Il vient de placer en vitrine un couple composé d’Emilie la poule et d’Eugène le coq, accompagnés de leurs amis écureuils et hérissons. Des animaux aux airs de cartoon.

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Il a passé au moins 80 heures à sculpter ces pièces composées de plus de 150 kg de chocolat. Il devrait vendre pour Pâques environ un millier de pièces en chocolat, dont de nombreuses poules et écureuils, en rappel de la vitrine.

Pour voir ses œuvres éphémères, il faut se rendre dans sa boutique Vibrations gourmandes à Nogent sur Marne en région parisienne.

Ces sculptures, devrait, après Pâques, rejoindre le musée personnel d’Eric Thévenot. Un endroit maintenu à 16°c toute l’année. La plus vieille de ces sculptures à au moins 10 ans.

► Pour en parler : Eric Thévenot

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