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Journaliste chez France Bleu Alsace, Luc Dréosto commentera escrime et taekwondo cet été aux JO de Paris

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Jeux Olympiques de Paris : J - 100 ! Combien d'Alsaciens participeront à l'évènement ? On l'ignore encore mais il y en a un qui – pour sûr – sera de la partie : Luc Dréosto. Entre deux fiches de révision, le commentateur des matchs du RCSA partage son travail, son excitation et ses souvenirs.

Luc Dreosto
Luc Dreosto © Radio France - Luc Humbert

Un nombre fait l'actualité en ce 17 avril : 100. Dans 100 jours, le début des Jeux Olympiques de Paris 2024.

France Bleu Alsace soutient évidemment les athlètes Alsaciens qui participeront à l'évènement. Combien seront-ils ? Combien de médailles vont-ils glaner ? On l'ignore encore, mais une chose est sûre, c'est qu'ils pourront - et nous aussi - entendre la voix de Luc Dréosto. Le commentateur des matchs du Racing Club de Strasbourg a été retenu pour commenter les épreuves d'escrime et de taekwondo.

"Pas les sports que je connais par cœur"

Au moment de candidater, les journalistes proposent cinq sports, mais seulement deux de leurs souhaits sont exhaussés. Pour Luc, l'escrime et le taekwondo "des sports que je ne connais pas par cœur" admet - sourire aux lèvres - le principal intéressé. Donc, pour être aussi prêt que les sportifs dans 100 jours, Luc "est en train de bosser" : "Je fais des sauts au CREPS pour voir les jeunes s'entrainer au taekwondo et discuter avec leurs entraineurs".

Le journaliste fait également des passages réguliers au SUC, le club d'escrime de Strasbourg, là où sportifs et entraîneurs lui "donnent quelques tuyaux pour comprendre les subtilités de l'escrime".

"On nous bassine toute l'année avec M'Bappé, Wembanyama...là on découvre des sportifs atypiques"

Travail et préparation, voilà le quotidien de l'Alsacien, auquel nous pouvons rajouter impatience et excitation : "ca me fait frissonner les JO" s'emballe le journaliste.
Parce que l'évènement n'a lieu que tous les quatre ans, parce qu'il permet de découvrir "le parcours de sportifs atypiques" et aussi parce que l'Alsacien "adore tous les sports" : "Je suis capable de me passionner pour du tir, du triathlon, du tennis de table ! C'est la diversité qui fait que c'est passionnant" conclut Luc.

A Paris, l'Alsacien commentera sa seconde Olympiade après celle de Londres en 2012 où il garde un souvenir "délirant" de la finale du 100 mètres [et la victoire d'Usain Bolt NDLR] : "Un truc de dingue" raconte Luc. "Il y'avait de l'électricité dans l'air dans les minutes qui ont précédé cette finale. Rien que d'en parler - 12 ans après - j'en ai encore des frissons".

Les Jeux Olympique de Paris - avec Luc Dréosto - ça débute le 26 juillet.

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