BEE’S KISS de la ruche à la tartine !

Charles-Olivier Oudin est un sourceur-globe trotter dans l’âme.
Pour son activité, il a passé des années en Afrique à courir de plantations de café en plantations de cacao, jusqu’à la quarantaine, l’âge de la remise en question, dans les années 2000.
La famille et le mal du pays le ramènent alors en France, dans la douceur angevine, du côté de Chemilly en Anjou, avec, dans ses bagages, une passion : les abeilles et l’apiculture.

Charles-Olivier sait toute l’importance des abeilles pour l’environnement et combien ce que ces insectes accomplissent pour l’humanité est important et impressionnant, car pour produire 50 grammes de miel, il faut le travail de 500 abeilles environ, qui doivent visiter 50 000 fleurs et parcourir 5 000 kilomètres dans un rayon restreint de 3 kilomètres…

Puis, pour obtenir le miel, il est nécessaire de le centrifuger, de le décanter, puis de le filtrer avant de le mettre en pot.

Charles-Olivier aimerait rendre ce circuit « plus court », pour que la production soit directe de l’abeille au consommateur.

Il imagine alors une sorte de capsule réutilisable installée directement dans la ruche, et qui, une fois remplie par l’abeille, serait récupérée et proposée telle quelle aux consommateurs.

Pour consommer le miel, il suffit alors de presser la capsule (de 50 grammes environ).

Charles-Olivier donne un nom à son invention : un bisou d’abeille « bee’s kiss » (en anglais).

Les professionnels de la gastronomie comme les grands pâtissiers apprécient immédiatement le principe pour la qualité du produit qu’il délivre.

L'invention est consignée : il suffit de les replacer vides dans la ruche en prévision d’une nouvelle miellée.

Fort du succès de son invention, et après avoir décroché une médaille d’or au Concours Lépine, Charles-Olivier Oudin a lancé sa start up qu'il a appelé « Bee’s dream » un rêve d’abeilles.