Union sacrée des élus finistériens pour une ligne LGV : Maël De Calan, chef de l'opposition au Conseil Départemental

"Il faut y croire"

Le projet de mettre l'ouest Breton à 3h de Paris est toujours d'actualité pour le Roscovite Maël de Calan. "Il faut y croire." Pour l'élu, il faut faire prendre conscience aux finistériens que "selon que le TGV mettra 3h45, 3h30 ou 3h pour aller de Paris à Brest et Quimper et bien il y a des emplois, des entreprises, des usines qui s'arrêteront à Rennes ou qui iront jusqu'à la pointe bretonne".  Car, c'est non seulement par la mobilisation des élus mais aussi grâce à celle de "la société civile" que la balance va pencher. 

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Des aménagements plutôt qu'une nouvelle LGV 

Maël de Calan précise cependant que l'objectif n'est pas de faire construire des Lignes à Grande Vitesse au nord et au sud de la Bretagne. "On demande des travaux d'aménagement avec des portions de lignes nouvelles et ici ou là des ouvrages d'art, c'est à dire, un pont, un tunnel" qui permettent de se rapprocher de l'objectif des 3h. 

Les élus se retrouveront donc ce soir au conseil départemental du Finistère. Le 7 mars, il se rendront directement à Paris pour faire entendre leur message "auprès du Premier ministre".