La création du Bureau du disque à l'ORTF

À toute époque Paris n’a cessé de se transformer ! La preuve avec cette archive INA, le 17 septembre 1947, dans nouvelles de partout -les actualités que l’on diffusait dans les salles de cinéma juste avec le film-. Ce reportage évoque l’éradication des taudis aux abords du quartier Saint Séverin dans le 5e arrondissement. C’était en 1947. 

1968, le 17 septembre, à la maison de la radio avenue du président Kennedy dans le 16e arrondissement, le PDG de l’époque Roland Dhordain, le PDG de l’ORTF annonce la création d’un bureau du disque. Il s’agit d’une cellule d’écoute appelée -c’est amusant- le bureau véritas, qui, selon Roland Dhordain va favoriser l’éclectisme, la liberté d’expression, etc. Ce qu’il ne dit pas c’est qu’il y avait à l’époque des artistes interdits. Black listé ? interdite par le comité d’écoute. Pour quelles raisons ? Des chansons trop sexe, trop anarchiste, trop sulfureux, trop communiste, ainsi Jean Ferrat était à l’index, Jean Yanne, La mauvaise réputation de Georges Brassens, Polnareff, L’amour avec toi, Boris Vian, Henri Salvador, etc… Mais bon Roland Dhordain a une sémantique bien différente.  Il le disait c’est le bureau véritas ! 

Et puis PSG for ever pour conclure le 17 septembre 1992, les Parisiens en coupe d’Europe battent les Grecs de Salonique 2 à zéro. Cette année 1992, c’est une belle équipe composée entre autre de Bernard Lama, David Ginola, Alain Roche, Daniel Bravo et Laurent Fournier, réaction du milieu de terrain en 1992. Et lors de ce match retour, victoire sans problème 3 à zéro pour le Paris Saint Germain, et dans cette coupe de l’UEFA 1992 /193, vous vous en souvenez, le PSG ira jusqu’en demi final, battu par la Juventus de Trurin