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Aviron Bayonnais - Joël Rey : "On ne va pas aller à Auxerre pour visiter" contre le Racing 92

À retrouver dans l'émission
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Joël Rey, entraineur des avants de l'Aviron Bayonnais, est invité de 100% Rugby ce France Bleu Pays Basque ce lundi 6 mai, avant le match délocalisé à Auxerre, contre le Racing 92, dans le cadre de la 23e journée de Top 14. Retour aussi sur l'AG extraordinaire du Biarritz Olympique.

Joël Rey, en pleine discussion avec Thomas Ceyte, lors d'un entrainement sur la pelouse de Jean Dauger
Joël Rey, en pleine discussion avec Thomas Ceyte, lors d'un entrainement sur la pelouse de Jean Dauger © Radio France - Stéphane Garcia

Présent depuis bientôt neuf saisons au sein du staff de l'Aviron Bayonnais, Joël Rey est venu faire le point sur le passage compliqué des Ciel et Blanc. Désormais à la lutte pour le maintien, les Bayonnais viennent d'enchaîner quatre revers de rang, dont trois en Top 14, la dernière contre l'UBB fin avril. Avant le choc contre le Racing 92, délocalisé à Auxerre pour le compte de la 23ᵉ journée de championnat. "On a encore les cartes en mains", souligne l'entraineur des avants.

"Aujourd'hui, on a notre destin en mains, on a deux matchs à la maison. Moi comme ça, je pense qu'avec deux victoires, on assure le coup. Puis, on va à Oyonnax... tout est faisable, même contre le Racing même s'ils ont de très bons joueurs. Sur le papier, c'est une jolie équipe. Actuellement, on n'a pas les moyens de choisir les matchs. Il nous faut des points. Donc, on ne va pas aller à Auxerre pour visiter. Le Racing est peut-être en dents de scie, mais on ne peut pas dire que de notre côté, on est crescendo. On veut essayer de renouer avec la victoire ou des points précieux. Ça fait un petit moment, depuis La Rochelle, qu'on a plus de mal, qu'on n'a pas engrangé de victoire depuis. En termes de résultats, on a un match un peu virulent durant lequel on se bat bien, contre La Rochelle. Derrière, on se troue à Anoeta. À Paris, on est dans le coup avant de retomber dans nos travers contre Bordeaux. Maintenant, tout compte. S'il peut y avoir victoire, on prendra. S'il peut y avoir un ou deux points, on prendra aussi pour nous écarter de la zone rouge. On est plus habitués à jouer dehors que dans une salle, ça peut donc être tout bénef pour nous. Côté francilien, je suppose que ce n'est pas le public qui va faire basculer le match, ça sera surtout nous et ce qu'on en fera."

L'intégralité de l'interview est à retrouver dans le podcast de 100% Rugby.

Au programme aussi :

100% Rugby, du lundi au jeudi à 18h

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