Justice

Une minute de silence a été respectée ce mercredi à 11h au tribunal judiciaire d'Evreux (Eure) comme dans de nombreux tribunaux et prisons de France en hommage aux deux agents pénitentiaires tués mardi lors de l'attaque de leur fourgon au péage d'Incarville pour faire évader un détenu.

Une assistante familiale de Lannilis dans le Finistère a été placée en garde à vue lundi 13 mai pour une série de mauvais traitement sur une mineure dont elle avait la garde. Elle l'attachait la nuit aux barreaux de son lit et la secouait violemment. Elle sera jugée le 7 novembre prochain.

"Je suis très fier de lui", témoigne ce mercredi à France Bleu Normandie Dominique Garcia, le père d'Arnaud Garcia, agent pénitentiaire tué ce mardi dans l'attaque d'un fourgon dans l'Eure. "Je suis sous le coup de la colère. Il ne verra pas son bébé."

Une minute de silence a été respectée à 11 heures ce mercredi matin aux tribunaux de Privas en Ardèche et de Valence dans la Drôme, en hommage aux agents pénitentiaires tués et blessés hier dans l'Eure.

Un homme de 44 ans a été condamné à une peine de prison de 5 ans dont 18 mois avec sursis pour une série de braquages dans le centre-ville de Laval commis entre novembre 2023 et janvier 2024.

La Cour de cassation a rejeté, ce mercredi, le pourvoi qu'avait formé la famille de Luis Manuel Bico, cet homme de 48 ans abattu par la police alors qu'il tentait de s'enfuir en voiture à Châlette-sur-Loing, près de Montargis, le 19 août 2017. La décision de non-lieu est donc définitive.

Des personnels pénitentiaires en deuil et sous le choc se sont rassemblés ce mercredi matin devant leurs prisons respectives partout en France après la mort de deux d'entre eux dans l'attaque d'un fourgon dans l'Eure mardi. Des agents profondément touchés par le drame qui a touché leurs collègues.

Une minute de silence a été observée ce mercredi devant la prison de Béziers. 150 surveillants bloquent l'accès à l'établissement depuis le début de journée. Ils ont reçu la visite et le soutien de Robert Menard. Des escortes de Béziers ont déjà connu une attaque armée, comme dans l'Eure, en 2019.

Le jeune homme suspecté d'avoir agressé à la hache une femme de 34 ans ce lundi soir à Volvic a été mis en examen, ce mercredi 15 mai, pour tentative d'assassinat et tentative de destruction de bien d'autrui. Le parquet de Clermont-Ferrand demande son placement en détention.

Les maisons d'arrêt de Borgo et d'Ajaccio ainsi que le centre de détention de Casabianda ont été bloqués ce mercredi 15 mai en réaction à l'attaque meurtrière survenue la veille au péage d’Incarville dans l'Eure. Comme sur le continent, le mouvement se poursuit ce jeudi, en attendant un protocole.

L'association Défense et Avenir du Patrimoine Nancéien, qui conteste le projet de rénovation et d'extension du musée Lorrain à Nancy, passe à l'étape supérieure. Après les recours grâcieux auprès de la mairie, elle vient de déposer deux recours contentieux devant la justice.

Un détenu, délinquant rouennais impliqué dans des affaires de trafic de drogue et incarcéré pour tentative de meurtre, s'est évadé lors de l'attaque d'un fourgon pénitentiaire ce mardi au niveau du péage d'Incarville dans l'Eure. Deux agents pénitentiaires sont morts, et trois ont été blessés.

Suite à l'attaque dont ont été victimes des agents pénitentiaires de l'Eure, les surveillants de la maison d'arrêt d'Auxerre (Yopnne) se sont mobilisés ce mercredi pour montrer leur tristesse et demander des mesures.

L'Organisation internationale de police criminelle Interpol émet ce mercredi une notice rouge pour le détenu Mohamed Amra, au lendemain de son évasion lors d'un braquage mortel au niveau d'un péage de l'Eure. Le fourgon où il était transporté a été attaqué, deux agents pénitentiaires sont décédés.

La grande famille de la Justice s'est rassemblée ce mercredi matin à Nîmes pour rendre hommage aux deux agents de l'administration pénitentiaire abattus la veille dans l'Eure. Les mots "Tristesse, colère, indignation", mais aussi "solidarité et détermination" sont revenus dans les prises de paroles.

Après la mort de deux agents pénitentiaires dans l'Eure, le blocage de la prison de Rennes-Vezin a commencé à 6h30 ce mercredi 15 mai 2024. Près de 150 membres du personnel ont respecté une minute de silence à 11h en hommage aux victimes.

Magistrats, avocats, personnel judiciaire, il y avait beaucoup de monde ce mercredi en fin de matinée dans le hall du Palais de justice de Grenoble pour rendre hommage, lors d'une minute de silence, aux deux agents pénitentiaires assassinés hier dans l'Eure.

Environ 70 personnels du centre pénitentiaire Grenoble-Varces bloquent son accès ce mercredi 15 mai. Ils ont également observé une minute de silence pour rendre hommage aux agents tués en Normandie par un commando.

Une minute de silence a été respectée, ce mercredi à 11 heures, dans tous les établissements pénitentiaires de France en hommage aux deux agents tués hier en Normandie. A Chambéry, Aiton et Bonneville, des blocages sont en cours.

Cinq hommes âgés de 22 à 29 ans ont été condamnés ce mardi à La Roche-sur-Yon à des peines entre trois et deux ans de prison assorties en partie de sursis. Ils ont été reconnus coupables d'avoir volé, enlevé et séquestré un homme entre Challans et la préfecture de Vendée en octobre 2020.

Allan Bertu, secrétaire général de la CGT dans le Calvados, appelle à des mesures immédiates pour améliorer la sécurité des agents pénitentiaires après l’attaque d’Incarville (Eure) qui a coûté la vie à deux fonctionnaires caennais. Une réunion est prévue ce mercredi 15 mai avec Eric Dupond-Moretti

Les agents pénitentiaires se mobilisent après l'attaque d'un fourgon dans l'Eure et la mort de deux surveillants. Ils bloquent des établissements pénitentiaires d'Occitanie et de la région toulousaine.

Après la mort de deux agents pénitentiaires tués dans l'Eure, plusieurs rassemblements sont organisés partout en France ce mercredi matin. En Franche-Comté, une cinquantaine d'agents se sont mobilisés devant les maisons d'arrêt de Besançon et Vesoul, appelant à une journée "prison morte."

Déplacements pour raison médicales