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Top 14 : Montpellier inarrêtable ? Un quatrième succès d'affilée contre Bordeaux

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Vainqueur de Bordeaux samedi (10-3) en fin de journée lors de la 18ème journée de Top 14, le MHR poursuit son redressement. Le classement n'a pas bougé pour les héraultais, mais l'écart se resserre avec plusieurs formations désormais à portée de fusil.

Les rugbymen montpelliérains célèbrent leur succès face à l'UBB Les rugbymen montpelliérains célèbrent leur succès face à l'UBB
Les rugbymen montpelliérains célèbrent leur succès face à l'UBB © AFP - Sylvain Thomas

La trajectoire du MHR (12) n'est peut-être pas "idéale" depuis son arrivée, comme en sourit Patrice Collazo quand on lui pose la question, mais il aurait quand même était difficile de faire mieux. Au niveau des résultats, déjà. Deux défaites pour démarrer, certes. Mais ensuite, un regain de confiance à travers la Coupe d'Europe, avec deux succès face à Newcastle et les Ospreys.

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Et depuis ? Sept victoires en neuf matchs de championnat, dont quatre consécutives jusqu'à celle acquise contre Bordeaux (10-3), ce samedi, lors de la 18ème journée de Top 14. Ce n'était pourtant pas une mince affaire, au regard des conditions climatiques assez dantesques, au GGL, quand bien même contre un adversaire diminué par les convocations internationales.

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Mais ce dont Patrice Collazo et son staff peuvent se targuer, eux qui se demandaient où ils avaient "mis les pieds" après quinze jours au club (sic), ce n'est pas seulement d'avoir relégué Oyonnax et Perpignan derrière le MHR. C'est aussi aussi et surtout d'avoir trouvé les mots qui ont fait mouche. Il n'y a qu'à voir l'attitude de ses hommes, pour comprendre que l'adhésion au discours de l'équipe technique qui a pris les commandes mi-novembre opère.

De là à rêver plus grand que le maintien et à imaginer une place parmi les six premiers en fin de saison ? L'entraîneur principal répond : "On peut avoir des options, reste à savoir si on veut les saisir. Tant qu'on verra des équipes dans le rétro, on ne peut pas se prendre pour ce qu'on n'est pas et annoncer des choses qu'on ne pourra pas tenir. Effectivement, il y a plus d'options aujourd'hui. On a des cartes en main qu'on n'avait pas il y a un mois. Il y a deux mois, je n'en parle même pas, on en n'avait aucune. Les options, il faut que ce soit eux qui les décident (les joueurs, ndlr). A eux de voir ce qu'ils veulent faire de cette deuxième partie de saison".

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