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Le collectif anti-homophobie Rouge direct apporte son soutien au président du Stade Lavallois

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Le collectif anti-homophobie dans le football Rouge direct apporte son soutien au président du Stade Lavallois. Suite aux interdictions commerciales de stade décidées par Laurent Lairy, certains supporters Tango s'en prennent violemment à lui sur les réseaux sociaux.

Les ultras du Stade Lavallois sont dans le collimateur du président du club qui reçoit le soutien du collectif Rouge direct. Les ultras du Stade Lavallois sont dans le collimateur du président du club qui reçoit le soutien du collectif Rouge direct.
Les ultras du Stade Lavallois sont dans le collimateur du président du club qui reçoit le soutien du collectif Rouge direct. © Maxppp - Marc Ollivier

Le collectif Rouge direct contre l'homophobie dans le football a tenu à apporter son soutien au président du Stade Lavallois "harcelé par des pseudo-supporters aux comportements totalement contraires aux valeurs du sport et du football". Le collectif parle de "comportements qui sont indignes du football et du supportérisme".

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Un tweet ignoble selon le collectif

Dans son message, le collectif estime également que "la FFF et la LFP doivent immédiatement réagir publiquement et soutenir Laurent Lairy dans son combat pour le respect dans le stade Francis Le Basser, notamment s’il souhaite porter plainte".

Le collectif a notamment réagi après la publication d'un tweet jugé "ignoble" qui compare le président du Stade Lavallois à un dictateur. Le président du District de football de la Mayenne, Nicolas Pottier a également apporté son soutien à Laurent Lairy.

Le message du président du District de la Mayenne Nicolas Pottier en soutien à Laurent Lairy.
Le message du président du District de la Mayenne Nicolas Pottier en soutien à Laurent Lairy. - X (anciennement Twitter)

Cette semaine, le président lavallois a adressé plusieurs courriers à des membres de Laval Crew pour leur signifier une interdiction commerciale de stade de plusieurs mois. Le bureau de Laval Crew tient à préciser qu'il "dénonce la caricature" et que le groupe d'ultras n'est "en aucun cas à l'origine de cette publication".

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