EN IMAGES - Près de 2.000 visiteurs aux portes ouvertes de la gendarmerie de la Savoie à Bassens

"Cela faisait au moins trois décennies qu'il n'y avait pas eu de portes ouvertes" nous confie un gendarme savoyard. "Ca fait plaisir de voir tous ces visiteurs, d'expliquer nos métiers, d'ouvrir nos portes". Pari réussi, ce samedi 14 mai, pour la gendarmerie de la Savoie. Près de 2.000 visiteurs se sont rassemblés à la caserne Lasalle à Bassens dans l'agglomération de Chambéry pour rencontrer ceux et celles qui nous contrôlent sur la route et qui nous protègent également, les différents métiers de la gendarmerie de la Savoie.

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Des démonstrations très appréciées

A Bassens, la caserne Lasalle a rassemblé des membres du peloton de surveillance et d'intervention, du peloton de haute montagne, des pilotes d'hélicoptères, des motocyclistes, des membres de la brigade nautique ou encore de l'équipe cynophile. Des démonstrations ont eu lieu toute la journée du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG), de l'escadron départemental de sécurité routière (EDSR) et du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) devant un public bien souvent impressionné.

Des activités pour les enfants

Les enfants ont particulièrement apprécié les démonstrations mais également les activités mises en place pour eux ce samedi 4 mai : la découverte des véhicules de la gendarmerie, la tyrolienne, le mur d'escalade ou encore les cours de secourisme. Maé, un petit garçon âgé de six ans, a particulièrement apprécie la découverte des véhicules et de hélicoptère de la gendarmerie de la Savoie. Déguisé en gendarme, venu d'Annecy avec sa maman et son grand-père, il a profité de tous les stands et activités de ces portes ouvertes. "Je veux être gendarme quand je serai grand" explique le petit garçon haut-savoyard.

Un bon moyen de susciter des vocations et de recruter

Ces portes ouvertes permettent de faire découvrir les différentes métiers de la gendarmerie, de soigner son image mais également de susciter des vocations et de recruter. "On essaye de donner envie aux ados et aux jeunes un peu plus grands de nous rejoindre, il y a des professionnels du recrutement qui gardent ensuite le contact avec ces jeunes qui dans deux ou trois ans seront peut-être prêts à s'engager avec nous" explique le colonel Frédéric Allamand, patron de la gendarmerie savoyarde. La gendarmerie recrute près de 12.000 personnes chaque année en France.