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Feria de Nîmes : un bon bilan dans les arènes

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La Feria de Pentecôte s'est achevée ce lundi. Le vent a beaucoup perturbé les deux premières journées et la clôture. On a vu des toros parfois mous, mais le public a tout de même eu droit à de jolis moments.

Léa Vicens
Léa Vicens © Maxppp

D'abord le verre à moitié plein : une grande corrida de Victorino Martin dimanche après-midi. De la mobilité, de l'exigence, du danger, un hallucinant saut dans le callejon de Morisco le deuxième exemplaire de la course, des maestros au diapason et un vrai moment fort de tauromachie .

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Toujours côté toros, la novillade de Parladé, samedi matin, irreprochable de présentation et des comportements. Et là encore, des jeunes novilleros au rendez-vous avec les déjà très belles promesses d'Andy Younès.

Des moments uniques

Le sommet de l'émotion on l'a ressenti peut-être dimanche matin : la mise à mort du de l'un des toros de Ponce accompagnée par_* un air d'opéra de Puccini chanté a capella depuis les gradins par le ténor Francesco Demuro_* , un moment unique.

Unique, comme les sublimes détails de Morante de la Puebla le vendredi, de Manzanarès le samedi, malheureusement trop rares. El Juli bien sûr, comme une évidence, irréprochable, professionnel et immense maestro. Juan Bautista lundi après-midi et la corrida à cheval du matin avec *la Porte des Consuls de Lea Vicens, juste pour être un poil chauvin. *

De grands maestros mais des toros un peu décevants

Le verre a moitié vide aussi. Le manque général de force, de présence et de transmission des toros. Le mistral aussi forcément, vent mauvais qui nous aura sans doute privés de beaucoup de bons moments.

A lire aussi : > Dossier spécial Feria de Pentecôte 2015

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