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La nouvelle éco : à Amiens, une entreprise fait fleurir les distributeurs à jus d'orange frais pressé

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Le Picard Maxime Grimaux s'est lancé il y a trois ans dans la vente de distributeurs de jus d'orange frais pressé à Amiens. Depuis, il a installé une quinzaine de machines dans la Somme et s'est diversifié.

Maxime Grimaux, gérant de la société "La petite orangerie" à Amiens. Maxime Grimaux, gérant de la société "La petite orangerie" à Amiens.
Maxime Grimaux, gérant de la société "La petite orangerie" à Amiens. © Radio France - Margot Turgy

Du jus d'orange frais pressé en quelques secondes. C'est ce que propose "La petite orangerie", une société spécialisée dans les distributeurs de jus d'orange frais pressé, basée à Amiens. Depuis sa création il y a trois ans, son gérant Maxime Grimaux a installé une quinzaine de machines dans la Somme. 

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"Dedans, vous allez retrouver 45 kilos d'oranges fraîches, réfrigérées entre 7 et 8°C", explique le chef d'entreprise picard. "Il y a aussi une grosse vitre transparente sur le devant, qui permet de voir en direct le pressage des oranges."  

Seul salarié de son entreprise, Maxime Grimaux se charge de nettoyer et de recharger les stocks de fruits lui-même. "La bonne saison, c'est à partir de maintenant et jusqu'à la fin de l'été, donc on va avoir des oranges d'Espagne et du Maroc", précise-t-il. Hors saison, Maxime Grimaux admet devoir "aller chercher plus loin, en Afrique du Sud et en Uruguay. Ce n'est pas super écologique, mais ça permet d'en vendre toute l'année". Pour un verre de 20 centilitres, soit trois oranges pressées, il faut débourser 1 euro.

1 euro le verre de 20 centilitres de jus

Pour le chef d'entreprise, vendre des distributeurs de jus d'orange frais pressé est une reconversion : "J'ai vendu des voitures pendant six ans, et je buvais du mauvais café tous les jours", raconte-t-il. "Je me suis dit que si on me proposait une alternative à ça, j'en serais friand". C'est en présentant son projet au Sacré-Coeur d'Amiens, son ancien lycée, et à des universités, que Maxime Grimaux a définitivement décidé de se lancer. "Une fois que j'ai eu les accords, les contrats, j'ai commandé mes premières machines", explique-t-il. Et le jeune chef d'entreprise assure être rentable : au lycée du Sacré-Coeur d'Amiens, le distributeur lui permet de vendre "40 à 50 verres par jour", alors qu'il en aurait besoin "d'une vingtaine".

Aujourd'hui, les distributeurs de jus d'orange représentent 50% de l'activité de "La petite orangerie". Maxime Grivaux s'est en effet diversifié, et propose aujourd'hui des distributeurs de boissons chaudes et de confiseries.  

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