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Défilé de l'ultradroite : une députée du Puy-de-Dôme demande la dissolution d'un groupe clermontois

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La députée insoumise Marianne Maximi demande la dissolution du groupe "Clermont Non Conforme". Un groupe qui a été créé fin mars à Clermont-Ferrand. Dans cette ville, plusieurs faits de violence auraient été commis par des membres de l'extrême-droite locale ces dernières semaines.

Un membre de l'ultra-droite à Paris ce samedi 6 mai Un membre de l'ultra-droite à Paris ce samedi 6 mai
Un membre de l'ultra-droite à Paris ce samedi 6 mai © AFP - Emmanuel DUNAND

La manifestation de l'ultradroite ce samedi en plein cœur de Paris continue à faire couler beaucoup d'encre. Au moins neuf militants d’extrême-droite connus à Clermont-Ferrand ont participé au cortège, et au moins un d'entre eux est connu pour avoir commis des violences graves et condamné.

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À Clermont-Ferrand, plusieurs fait, attribués à l’extrême-droite ont été recensés ces dernières semaines, notamment une bagarre avec des militants antifascistes et d'extrême-gauche sur la terrasse d'un bar du centre-ville. Et un nouveau groupe a émergé sur place fin mars, Clermont Non Conforme, avec au moins une quinzaine de militants.

Le précédent "Bastion social"

Ce mercredi soir la députée LFI de la 1ère circonscription du Puy-de-Dôme Marianne Maximi demande la dissolution de ce nouveau groupe : "on observe la dangerosité qui augmente dans la ville, dans le milieu universitaire, il y a des militants qui se sont fait agressés. Nous ne devons pas les laisser s’installer dans notre ville, qui a déjà subi la violence de l’extrême-droite, notamment à l’époque du Bastion social" explique l'élue clermontoise.

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