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Booder, baby-sitter pas comme les autres dans la nouvelle fiction de TF1, “Le nounou”

À retrouver dans l'émission
David Lantin anime La Scène Culture sur France Bleu tous les soirs
Du lundi au vendredi à 20h30
- Mis à jour le
Par
  • France Bleu

Au programme de cette comédie sociale, une rencontre improbable qui va obliger les protagonistes à faire évoluer leurs points de vue et leurs a priori les uns sur les autres.

Booder, héros du nouveau téléfilm de TF1, “Le Nounou”
Booder, héros du nouveau téléfilm de TF1, “Le Nounou” © Getty - Claude Medale

Ce lundi 26 février à 21h10, TF1 diffuse “Le nounou”, un téléfilm qui joue sur le registre de la différence et de la tolérance. Au casting que du beau monde (Florent Peyre, Gérémy Crédeville, Issa Doumbia...) et dans le rôle principal Booder qui est également à l’origine de l’idée du scénario.

Booder incarne donc Samir, un éternel adolescent de 40 ans qui vit encore chez sa mère dans le quartier où il a grandi. Il y entraine l’équipe de foot des enfants. C’est sa seule activité et ça lui convient parfaitement, lui à qui il en faut peu pour être heureux, au grand dam de Malika, sa mère.

Sa vie va changer le jour où Malika est hospitalisée et lui demande de la remplacer au pied levé dans son job de… nounou ! Samir se retrouve alors en banlieue chic chez les Berthier, famille bobo chez qui sa mère travaille depuis plus 10 ans. Il va découvrir les parents de Luna et Lucien, deux hommes, ce que sa mère ne lui avait jamais dit. Pour la famille Berthier c’est aussi le choc des cultures, leur quotidien bien huilé va être chamboulé par les “méthodes” très improvisées et assez personnelles de Samir.

Dans “Le nounou”, de nombreux sujets universels sont abordés comme la différence sexuelle ou l’adoption. “J’ai voulu être le plus vrai possible sans non plus trop entrer dans les détails car c’est avant tout une comédie ni accentuer les préjugés”.

Parmi les thèmes également, le harcèlement scolaire, un sujet important pour Booder même si lui-même n’en a jamais vécu à proprement dit. “J’ai été doté par la nature de cette joute verbale, de cette façon de faire rire les gens, d’être un vanneur tout simplement. Et quand les gens me vannaient, derrière je vannais pendant 1h, donc forcément j’étais le mec à pas attaquer. Mais je le fais pour tous ces jeunes qui n’ont pas cette force de pouvoir se défendre et pour qui l’école devient un cauchemar. C’est à eux que je parle quand je parle de harcèlement scolaire”.

L’école et l’éducation nationale qui seront d’ailleurs les sujets principaux du prochain spectacle de Booder !

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