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Primeurs dans le Bordelais : "Quelque 500 vins à déguster" pour les journalistes de Terre de Vins

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La semaine des Primeurs dans le Bordelais est synonyme de quelque "500 vins à déguster" pour l'équipe de journalistes spécialisés du magazine Terre de vins. L'un d'eux, Mathieu Doumenge était l'invité de La nouvelle éco ce mercredi pour parler de sa vision du millésime 2022.

Mathieu Doumenge, journaliste à Terre de Vins, invité de La nouvelle éco sur France Bleu Gironde.
Mathieu Doumenge, journaliste à Terre de Vins, invité de La nouvelle éco sur France Bleu Gironde. © Radio France

Goûter des vins lors de la semaine des Primeurs, qui s'est ouverte lundi dans le Bordelais, est un "exercice très particulier", explique ce mercredi dans La nouvelle éco Mathieu Doumenge, journaliste au magazine Terre de vins. Pour sa rédaction, qui prépare un numéro spécial à la mi-mai, cela représente "quelque 500 vins à déguster", en majorité avant l'ouverture officielle. "On doit juger ce qu'ils vont devenir dans plus d'un an quand ils sont mis en bouteille", explique-t-il.

"Stratosphérique", "légendaire" : les qualificatifs n'ont pas manqué pour qualifier ce millésime 2022. "Tout le monde s'est toujours un peu moqué de Bordeaux qui annonce souvent le millésime du siècle", sourit Mathieu Doumenge. Après la sécheresse et la canicule de l'été 2022, "ça pouvait être un désastre, donner des raisins sur-mûrs, presque cuits, ce qui était arrivé en 2003". Mais 2022 sera, dit-il "un très grand millésime".

Et qui va bien fonctionner commercialement. "Les Grands crus devraient vendre", au cours de ces Primeurs où "beaucoup d'acheteurs reviennent" après trois ans perturbés par le Covid, estime Mathieu Doumenge, qui anticipe une hausse des prix. "S'ils augmentent beaucoup, cela profitera à quelques uns mais pas à tout le monde. Mais s'ils augmentent de manière mesurée, cela tirera toute la filière vers le haut, et elle en a besoin".

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