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À Arcachon, le salon nautique est "déjà une réussite", assure son organisateur

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60.000 visiteurs sont attendus du 21 au 23 avril au port de plaisance d'Arcachon pour le salon nautique, salon surtout destiné aux professionnels. L'organisateur Germain Stoldick était l'invité de France Bleu Gironde ce vendredi.

Germain Stoldick, directeur général du port d'Arcachon, invité de La nouvelle éco ce vendredi.
Germain Stoldick, directeur général du port d'Arcachon, invité de La nouvelle éco ce vendredi. © Radio France

Il l'assure, ce vendredi sur France Bleu Gironde : le salon nautique 2023 est "déjà une réussite". Invité de La nouvelle éco ce vendredi 7 avril, Germain Stoldick, directeur général du port d'Arcachon et organisateur de l'évènement pointe les "39 partenaires et 170 exposants", attendus sur le port de plaisance les 21, 22 et 23 avril, deux chiffres qui sont en augmentation. Soit un "programme alléchant", juge-t-il. "Si la météo est là, le succès sera confirmé", espère-t-il, attendant 60.000 visiteurs.

À Arcachon, le salon, gratuit, ouvre ses portes au grand public. "Peut-être qu'une personne dans la famille va s'intéresser aux bateaux, les enfants vont pouvoir aller faire un baptême de plongée, s'initier à la voile, visiter le Galeon...", cette république de galion espagnol du XVIIe siècle, énumère le directeur du port. Mais le salon est "avant tout économique", rappelle-t-il, un lieu où les professionnels du secteur rencontrent leurs actuels et futurs clients. Ca représente "entre deux et trois millions de chiffre d'affaires chaque année", comptabilise Germain Stoldick.

Une primauté au commerce revendiquée critiqué par les élus écologistes de la Région, qui ont refusé de voter la subvention, critiqué le fait qu*'"Arcachon ne voi[e] que le business du nautisme",* plutôt que les "filières économiques vertueuses". Germain Stoldick défend son salon, qui invite des "motoristes nouvelles génération, électriques, hybrides", et organise le baptême du SeaKite, le catamaran d'Yves Parlier, Mais, "évidemment, on a encore beaucoup de choses à faire" sur la transition écologique, reconnaît-il.

Revoir l'interview de Germain Stoldick

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