Revendre (ou pas) les cadeaux que l'on a pas aimé
Le marché de la revente des cadeaux après Noël suscite de plus en plus d'attention. Pratique courante, bon nombre d'Azuréens considèrent néanmoins cela comme un manque de respect envers ceux qui ont pris la peine de choisir un cadeau. Vous avez partagé vos expériences et opinions sur la question.
Des cadeaux inappropriés, comme un soutien-gorge de taille incorrecte ... le Père Noël se trompe parfois créant ainsi des moments mémorables, parfois traumatisants.
Et si on revendait les cadeaux que l'on aime pas ? Certains n'ont aucune hésitation : un Français sur quatre le ferait juste après Noël. Sauf que, d'après vous sur la Côte d'Azur, la dimension affective et le souvenir lié au cadeau devraient primer sur l'aspect mercantile.
Nous avons trouvé d'autres alternatives, comme donner les cadeaux non désirés à des associations caritatives plutôt que de les revendre. Certains participants ont souligné qu'ils préféraient conserver les cadeaux, même s'ils ne les utilisaient pas immédiatement, par respect pour le geste de la personne qui les a offerts.
Nous avons aussi interrogé Ysabelle Delmas, psychanalyste de la région, qui a fait une thèse sur les cadeaux (justement).
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