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Dix millions d'euros pour réhabiliter le stade Pompidou à Valence

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Le projet de rénovation du stade Georges-Pompidou, à Valence, dans la Drôme, prévoit l'installation d'une nouvelle tribune couverte, mais aussi la réfection du terrain. Le chantier devrait être terminé pour septembre 2025.

Le projet de réhabilitation du stade Pompidou à Valence prévoit notamment la création d'une seconde tribune couverte Le projet de réhabilitation du stade Pompidou à Valence prévoit notamment la création d'une seconde tribune couverte
Le projet de réhabilitation du stade Pompidou à Valence prévoit notamment la création d'une seconde tribune couverte © Radio France - Damien Triomphe

Remise aux normes, nouvelle tribune couverte, terrain neuf... Le maire de Valence, Nicolas Daragon, en parle comme un "investissement majeur du mandat". Le budget en vue de la rénovation du stade Pompidou est  désormais posé. À terme, dix millions d'euros seront investis, après des premières réfections qui avaient déjà coûté 1,8 million d'euros il y a quatre ans.

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On n'en est pas encore au premier coup de pelle : des études vont être menées pendant un an et demi pour finaliser le projet, puis viendra le temps du chantier, avec l'objectif d'un stade totalement réhabilité en septembre 2025. Le principal changement sera l'installation d'une nouvelle tribune couverte, avec des loges, pour un coût de 9 millions d'euros. Sa capacité d'accueil devrait rester la même, de 12.000 à 15.000 places.

"C'est un peu Noël avant le 25 décembre" - Laurent Beaugiraud, co-président du VRDR

Le stade Pompidou a été construit en 1973. Des travaux de réfection avaient eu lieu en 2018 pour permettre son homologation et refaire notamment l'éclairage. Mais ce n'était qu'une étape vers sa modernisation, le stade Pompidou ne répondant pas entièrement au cahier des charges de la Ligue nationale de Rugby. "On insiste depuis quelques années pour que des travaux soient faits pour accueillir du public, des travaux de confort, de réfection et pour une nouvelle tribune couverte" explique Laurent Beaugiraud, co-président du VRDR.

Avec trois millions d'euros mis sur la table, la Région est le premier financeur du projet. Puis viennent la Ville de Valence et le Département avec environ deux millions et demi d'euros chacun. Financeurs aussi, l'agglomération et l'État, tout comme le VRDR qui participera à l'enveloppe globale à hauteur d'un million et demi d'euros à travers le versement d'un loyer.

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