Passer au contenu
Publicité

National : le Lavallois Kévin Perrot de retour à Le Basser vendredi

Par

Kévin Perrot, pur produit du Stade lavallois, a changé de club à l'intersaison en signant au Puy-en-Velay. Hasard du calendrier, c'est dès la première journée de championnat qu'il va affronter son ancien club.

Kévin Perrot est désormais footballeur au Puy-en-Velay. Kévin Perrot est désormais footballeur au Puy-en-Velay.
Kévin Perrot est désormais footballeur au Puy-en-Velay. - Le Puy Foot

A 30 ans, Kevin Perrot n'a pas vraiment eu le choix que de quitter Laval, sa ville natale, à l'intersaison. Non conservé par le Stade lavallois, son club formateur, le défenseur a rapidement trouvé le club qu'il lui fallait. Ce sera un promu de National 2, le Puy-en-Velay, préfecture de Haute-Loire. "Un club familial, c'est ce que je recherchais" explique le Mayennais. "Je suis un homme et un footballeur heureux. Cela fait du bien de découvrir autre chose, un nouvel environnement. Et en tant que sportif, je reprends du plaisir. Je suis sorti de ma zone de confort. C'est positif. Physiquement, je me sens très très bien et dans la tête aussi. J'espère vivre une belle saison, individuellement et collectivement."

Publicité

"Un clin d’œil du destin", Kevin Perrot

Vendredi soir, Kevin Perrot va donc retrouver très rapidement le stade Francis-le-Basser. Dès la première journée de championnat, c'est à dire avant même de jouer dans le stade du Puy-en-Velay. "C'était inattendu. Quand j'ai vu le calendrier, je me suis dit que c'était un clin d’œil du destin. C'est bien, ce sera un beau premier match dans un beau stade et sur un beau terrain. Étrangement, je n'ai jamais mis les pieds dans le vestiaire visiteurs pendant mes longues années à Laval."

Une belle région

Kévin Perrot ne connaissait ni la ville, ni la région dans lesquelles il a débarqué au mois de juin. Depuis, il a trouvé un logement et sa famille l'a rejoint. "Plutôt surpris, c'est une ville sympathique, une belle région. On s'y sent bien pour le moment. Mais c'est l'été, il va falloir attendre l'hiver, car il est apparemment assez rude ici. On en reparlera dans six mois !"

Publicité

undefined