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Le collectif "Sauvons le Nîmes Olympique" répond à l'entraîneur qui souhaite voir plus de monde au stade

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Dans un communiqué publié ce lundi 19 février, le collectif "Sauvons le Nîmes Olympique" a tenu à répondre à l'appel de l'entraîneur, Frédéric Bompard. Au sortir d'une victoire sur le fil sur la pelouse de Châteauroux vendredi 16 février, l'entraîneur appelait les supporters à revenir au stade.

Les supporters du Nîmes Olympique mobilisés devant la mairie, pendant le conseil municipal à Nîmes Les supporters du Nîmes Olympique mobilisés devant la mairie, pendant le conseil municipal à Nîmes
Les supporters du Nîmes Olympique mobilisés devant la mairie, pendant le conseil municipal à Nîmes © Radio France - Tony Selliez

"Pour constituer une union, il faut être deux", rappelle le collectif "Sauvons le Nîmes Olympique" dans un communiqué publié ce 19 février. Le groupe a tenu à répondre aux propos de l'entraîneur Frédéric Bompard du 16 février dernier. Au sortir d'une victoire difficile et précieuse sur la pelouse de Châteauroux (0-1), l'entraîneur déplorait "avoir un gros problème quand on joue à domicile, c'est qu'il n'y a personne dans le stade. On a absolument besoin de vous, les Nîmois supporters du Nîmes Olympique. Venez, aidez-nous face à Villefranche", faisant référence au prochain match à domicile des Crocos, prévu ce vendredi 23 février à 19h30.

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Le collectif prêt à entamer un dialogue

Après avoir rappelé le soutien du collectif à l'équipe et au staff, le collectif déclare être "persuadé qu'un maintien en National est vital pour l'avenir du club. Nous sommes prêts à appeler à cette fameuse "union sacrée" que notre entraîneur et nos joueurs semblent souhaiter". Mais le collectif n'entend pas être le seul à faire des efforts : "Pour constituer une union, il faut être deux. Afin de ramener massivement les Nîmois au stade, le club doit à minima faire un geste dans ce sens". "Sauvons le Nîmes Olympique" appelle à des "mesures de bon sens", comme une politique tarifaire plus attractive, le retour des guichets physiques et la suppression des interdictions commerciales de stade. Après avoir rappelé que "le collectif s'est toujours refusé à imposer une vue ou une attitude à ses adhérents", le groupe conclu en se disant "plus que jamais ouvert au dialogue".

La véritable réponse à l'appel de Frédéric Bompard sera donnée ce vendredi 23 février dans les travées du stade des Antonins.

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