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"C'est le Graal" : un journaliste creusois raconte sa Coupe du monde au Qatar

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Julien Chaput, né à Limoges et creusois d'origine, couvre au Qatar sa troisième Coupe du monde pour le compte de la chaîne télé BeIN Sports. Entre le parcours de l'équipe de France et l'organisation du tournoi, il garde un beau souvenir de la compétition.

Julien Chaput, journaliste sportif français (à gauche) avec Thibault Courtois, le gardien de la Belgique au Qatar. Julien Chaput, journaliste sportif français (à gauche) avec Thibault Courtois, le gardien de la Belgique au Qatar.
Julien Chaput, journaliste sportif français (à gauche) avec Thibault Courtois, le gardien de la Belgique au Qatar. - Julien Chaput / Instagram

Après le Brésil en 2014 et la Russie en 2018, c'est sa troisième Coupe du monde au bord des terrains. "Le Graal" pour Julien Chaput, journaliste sportif pour le compte de la chaîne télévisée Be IN Sports depuis dix ans maintenant. Né à Limoges, ayant grandi en Creuse jusqu'à son adolescence, le Creusois d'origine réalise depuis quelques années le rêve de gosse de tout fan de football, suivre la plus grande des compétitions en direct au bord des stades.

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Plusieurs équipes à suivre

Julien Chaput a en effet suivi le quotidien de la Belgique et du Cameroun durant cette Coupe du monde au Qatar. Deux sélections qui ne passeront pas les phases de poule. Le journaliste a alors bifurqué, et suivi le parcours de la valeureuse équipe de Croatie, éliminée en demi-finales par l'Argentine.

Du Mondial au Qatar, à l'heure où la compétition se termine, Julien Chaput garde "un très bon souvenir" de l'aventure, "une grande première qui s'est vécue sur une ville, Doha". Un avantage non négligeable, comparé aux distances parfois colossales à encaisser en avion lorsqu'on pense au Brésil et à la Russie.

Trois Coupes du monde couvertes

"Je reçois des messages de mes amis qui sont restés en Creuse, ça fait plaisir", témoigne le journaliste sportif. "Même si je ne me considère pas comme un ambassadeur sur place au Qatar".

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Au fil du temps, Julien Chaput s'est créé sa propre histoire d'amour avec la Coupe du monde. "En 2014, je suis parti au Brésil sachant que ma femme allait accoucher pendant la compétition ! J'ai vécu la naissance de mon premier fils par Skype".

Aujourd'hui, le fiston a huit ans, et le père compte bien profiter de la finale avec lui. Un pronostic pour la finale entre la France et l'Argentine ? "Je vais dire la France, parce qu'on a envie qu'elle aille au bout". Après la Russie en 2018, ce serait alors l'occasion pour Julien Chaput d'accrocher une deuxième étoile à son micro.

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