Passer au contenu
Publicité

"Ce n'est pas ma ville, ni mon sport" : Bruno Fievet ne souhaite pas investir dans l'Élan Béarnais

Par

L'homme d'affaires dément être intéressé par l'Elan Béarnais. Il avait été approché par le club palois à l'automne pour trouver de nouveaux partenaires financiers. Ses propositions sont restées lettre morte explique-t-il.

Bruno Fievet (illustration) Bruno Fievet (illustration)
Bruno Fievet (illustration) © Maxppp - Guillaume Bonnaud

Peut-il y avoir un nouveau repreneur pour l'Élan Béarnais ? La question est posée après la relégation en Pro B du club de basket palois. En tout cas, ce ne sera pas l'homme d'affaires Bruno Fievet, très connu dans le monde du football. Il avait tenté l'an passé de racheter les Girondins de Bordeaux et son nom refait surface après la descente de l'Élan.

Publicité

France Bleu Béarn Bigorre a pu joindre Bruno Fievet à Genève en Suisse où il réside. Il dément être intéressé par l'Elan Béarnais. Il n'a jamais été question pour lui d'investir directement dans le club de basket explique-t-il. "Je n'ai pas vocation à investir dans le basket et à l'Elan Béarnais et la relégation n'a pas changé mon point de vue. Je n'ai pas une connaissance assez grande de ce sport. J'ai assez critiqué ceux qui rachetaient des clubs sans les connaître pour ne pas faire la même erreur."

Des propositions restées lettre morte

En novembre dernier, l'homme d'affaires avait été approché par l'ancien joueur de l'Elan, Mathieu Bisséni et par David Bonnemason-Carrère, le vice président du club. Bruno Fievet était alors missionné pour tenter d'attirer de nouveaux partenaires mais il n'a jamais eu l'oreille du Président Ménard et la collaboration a tourné court. "Ça n'a pas été une belle expérience" explique aujourd'hui Bruno Fievet qui indique n'avoir plus de contact avec le Président, Sébastien Ménard ni le maire de Pau, François Bayrou. "Ça n'a pas bien fonctionné avec Sébastien Ménard pour plusieurs raisons qui m'échappent. La situation sportive et administrative n'aidaient pas à faire venir des partenaires."

L'homme d'affaires explique avoir également fait une proposition "hybride" pour consolider financièrement le club mais sans jamais obtenir de retour. "Ça fait cinq ou six mois que je demande à avoir des rendez-vous avec Sébastien Ménard et François Bayrou et aujourd'hui on se retrouve dans un état de crise ou de semi crise. Je ne connais pas les intentions de Sébastien Ménard, ni celles de la Mairie. A partir de là, c'est difficile de pouvoir aider", conclue l'homme d'affaires.

loading
Publicité

undefined