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Redécoupage électoral en Moselle : ne touchez pas à nos campagnes

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Les élus du conseil général de la Moselle se sont retrouvés lundi pour l'ouverture de la deuxième réunion trimestrielle. La matinée a été consacrée au discours du président Patrick Weiten. Les débats se dérouleront jeudi.

Le conseil général de la Moselle Le conseil général de la Moselle
Le conseil général de la Moselle

Jeudi, les élus devront notamment se prononcer sur le schéma départemental des collèges, le futur palais des congrès "Metz métropole Moselle congrès", le projet "Moselle nouvelles mobilités". Cependant, les débats ne devraient pas être trop animés.

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Le chef de l'opposition de gauche, le socialiste Philippe Tarillon parle d'un ordre du jour consensuel.

Son groupe votera le schéma départemental des collèges contrairement au précédent, en 2004, sous la présidence de Philippe Leroy.  Cette fois, Philippe Tarillon reconnait que ce plan s'est fait dans la concertation : "la cohérence est là, reste à voir maintenant sa mise en oeuvre" confait-il aux journalistes.

Le projet Moselle nouvelles mobilités

Dans son discours d'ouverture, Patrick Weiten, le président du conseil général de la Moselle, a évoqué le projet "Moselle nouvelles mobilités" dont l'objectif est de** favoriser le co-voiturage à bord de véhicules électriques** pour les transfrontaliers qui travaillent au Luxembourg. A l'horizon 2018/2019, il veut créer 6 parcs relais le long de l''A31 capable d'accueillir plus de 800 véhicules électrique.

Le pacte Lorraine

Patrick Weiten a aussi évoqué le Pacte Lorraine : cette lettre de mission adressée par Jean-Marc Ayrault, le premier ministre, à Nacer Meddah le préfet de région et baptisée le pacte Lorraine. Le chef de l'éxécutif départemental souhaite que l'Etat  finance 40 projets en Moselle   dont la plateforme Terra Lorraine à Illange, la reconversion de la 'ancienne base militaire de Metz Frescaty, l'élargissement de l'A31 et le projet d'europport de Metz et d'Illange.

Patrick Weiten a fini son discours par un coup de gueule.

Il dénonce la réforme territoriale que le gouvernement est en train de construire et pointe du doigt le changement du mode de scrutin pour les prochaines élections cantonnales de 2015.

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A gauche, on sourit en disant que Patrick Weiten a peur de perdre sa majorité à l'occasion des élections départementales de 2015.

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