Le CAMPS Clocheville tire la sonnette d'alarme
Chaque année, 650 enfants de 0 à six ans et leurs familles sont accueillis à l’hôpital Clocheville par le CAMPS, Centre d'action médico-sociale précoce. Aujourd'hui ce service travaille à flux tendu au quotidien avec seulement une vingtaine d'équivalents temps plein et des postes en CDD qui ne sont pas pour l'instant reconduits.
Conséquence du manque de personnel, les délais déjà extrêmement longs pour la prise en charge des enfants vont encore courir sur plusieurs mois. L'ensemble des personnels tire la sonnette d'alarme.
Les familles qui ne trouvent pas de solution dans ce centre unique en Indre-et-Loire doivent se tourner vers la médecine de ville et là les coûts sont parfois élevés. Isabelle Vercain est l'une des ergothérapeute du centre d'action médico sociale précoce installé à l'hopital Clocheville
Le poste menacé représenterait quelques 20.000 euros par an à la charge de l'Agence régionale de santé et du conseil général. Chaque année prés de 350 nouveaux enfants sont accueillis dans ce centre unique en Indre-et-Loire.
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