EN IMAGES - Paris-Roubaix : revivez la course avec France Bleu, partenaire officiel de la 117e édition
Les coureurs s'élancent ce dimanche, à 11h, de Compiègne pour rallier le vélodrome de Roubaix, environ 6 heures plus tard. France Bleu Nord et France Bleu Picardie vous font vivre toute la course et ses coulisses en images.
C'est le belge Philippe Gilbert qui a remporté le Paris-Roubaix 2019, après un sprint final.
Paris-Roubaix en direct sur France Bleu
Dès 9h, France Bleu Picardie et France Bleu Nord sont en direct depuis la place du Général De Gaulle, devant le château de Compiègne avec notre consultant, l'ancien coureur cycliste Henri-Paul Fin.
A 11h, départ de la course, celle-ci est commentée par Stéphane Barbereau, Christian Palka et son consultant, Pascal Sergent, grand spécialiste de Paris-Roubaix. Jean-Sébastien Lebon est au PC sécurité de Villeneuve d'Asq. Patrick Marlière, Marylin Landais et Hortense Crépin sont le long des secteurs pavés de Maing, Arenberg et du Carrefour de l'Arbre.
Et nous suivons également nos deux reporters VIP : Christopher et Sebastien, deux auditeurs sélectionnés grâce à leurs lettres de motivation.
Le Paris-Roubaix en images
Victoire de Philippe Gilbert ! Second : Nils Politt et troisième : Yves Lampaert
- Les cyclistes sont dans le vélodrome ! Lampaert revient. Le sprint est lancé.
- Les cyclistes sont dans le parc des sports.
- 17h09 : avantage à Philippe Gilbert. Il peut gagner le prix !
Au vélodrome de Roubaix, tout est prêt pour la photo finale.
- Dix kilomètres avant l'arrivée, Philippe Gilbert et Nils Politt sont devant. Peter Sagan semble avoir du mal.
- Il reste deux secteurs pavés. L'écart se creuse entre les hommes de tête et le peloton.
- 16h53 : Yves Lampaert et Sep Vanmarcke essaient de remonter près des trois premiers.
- 16h40 : trois hommes prennent la tête : Philippe Gilbert, Peter Sagan et Nils Politt.
- 16h29 : Christian Palka : "L'élastique va casser !". Il parle des 6 hommes qui sont en tête et du peloton. Qui va craquer ? Les derniers kilomètres vont être passionnants.
Au carrefour de l'arbre, dès le passage des coureurs, les spectateurs se ruent vers l'écran pour assister à l'arrivée.
Christopher et Sébastien, nos deux reporters VIP sont dans la voiture Hauts-de-France, quelques kilomètres devant les cyclistes. S'ils n'ont pas pu emprunter la trouée d'Arenberg, ils ont pu apprécier l'ambiance du parcours.
- 46 km de l'arrivée : il y a maintenant 6 coureurs devant avec 36 secondes sur le peloton.
- 16h00 : Nils Politt et Philippe Gilbert sont en tête, avec vingt-cinq secondes sur le groupe de Peter Sagan.
- 15h43 : la course est en train de se jouer ! Christian Palka nous alerte.
15h26 : à 75 km de l'arrivée, le secteur pavé 16 se termine pour les coureurs de tête mais le peloton n'est qu'à 16 secondes.
Au carrefour de l'arbre, les spectateurs sont nombreux. Il fait très froid et ils tentent de se réchauffer par tous les moyens.
Nos reporters VIP ont fait la pause déjeuner, en charmante compagnie.
- 15h02 : Stijn Vandenbergh est sorti en tête de la trouée d'Arenberg avant de se faire rattraper.
- 14h55 : les premiers cyclistes arrivent sur la trouée d'Arenberg.
- Au carrefour de l'arbre, c'est le calme avant la tempête.
- Retour vidéo de l’hélicoptère de la Gendarmerie Nationale au niveau du carrefour de l’arbre à 14h20.
Il y a toujours du monde pour voir passer les cyclistes sur les pavés.
Un moyen de transport sympa pour venir voir les coureurs !
Un spectateur très particulier sur la route du Paris-Roubaix, à Viesly.
- A l'arrivée du premier secteur pavé, deux français font partie des neuf hommes qui sont devant. Il y a beaucoup de poussière, c'est très sec. 900 mètres pour ce premier secteur. Le peloton n'a pas beaucoup d'avance : environ 500 mètres.
A bord de la voiture des Hauts-de-France, nos auditeurs-reporters sont amusés par les photographes qui sont dans des positions très acrobatiques pour saisir les coureurs !
- A 13h 15, les cyclistes arrivent sur les pavés. Et là ça se précipite. Adrien Petit est arrivé à s'extraire du peloton. Sans doute trop tôt pour Christian Palka.
Nœud papillon en chambre à air et boucles d'oreilles, lampes de mineurs avec de la dentelle de Ccaudry sont vendus au début de la trouée d'Arenberg. A chaque vente, un euro est redistribué à l'association Valentin Apac pour soutenir les malades porteurs d'anomalies chromosomiques.
Au café de Maing, on accueille les bus des flamands. Ca fait 15 ans qu'ils viennent voir le Paris-Roubaix ici.
A la trouée d'Arenberg, Marylin Landais croise un groupe de touristes américains, un conducteur belge flamand et 2 russes qui sont venus pique-niquer.
A Villeneuve d'Asq, Jean-Sébastien Lebon est au PC Sécurité pour guider la circulation. Devant lui, la carte de surveillance des véhicules sur le terrain. Chaque véhicule a sa positon actualisée toutes les 30 secondes.
- A presque une heure de course, la moyenne est d'environ 44 km/h. Dix secondes d'avance pour deux hommes sur le peloton : Marco Marcato et Mads Pedersen.
- Les conditions climatiques sont mitigées : soleil mais un vent de nord s'est levé, vent de face froid qui risque de ralentir les coureurs.
- Après 18 minutes de course, c'est le coureur Kazakhstan Dimitry GRUZDEV de la team Astana qui est en tête.
Jean-Claude POULAIN le patron du Pénalty à Maing qui attend de pieds fermes les Flamands qui ont élu QG de leurs rencontres avant le passage des coureurs.
Nos deux reporters sont dans la course, dans la voiture des Haut-de-France. Et pour Sébastien Denneulin, c'est un rêve : le chauffeur est Sébastien Minard, ancien professionnel et picard !
11h : c'est l'heure du départ fictif, et comme nous le signale Henri Paul Fin, l'heure c'est l'heure.
Arnaud Demarre, le picard, est aussi un coureur à suivre. Il sera sûrement dans les premiers à Roubaix.
Peter Sagan, le vainqueur de l'an passé est très attendu sur cette édition 2019.
Andréa Tafi a gagné le Paris-Roubaix en 1999. Vingt ans mais c'est comme si c'était hier. Il aurait voulu participer à la course pour montrer que le vélo n'a pas d'âge.
Avant la course, les coureurs signent le protocole de départ sur le podium. Le dossard est mis, il est vérifié. Ensuite ils traversent la salle avec les invités. Sébastien Denneulin, le reporter VIP de France Bleu, assiste à celle de Adrien Petit, son préféré !
Pourquoi un départ fictif ? La réponse de Henri-Paul Fin : "C'est pour la sécurité. Il est nécessaire de faire un vrai départ à la sortie de la ville pour éviter tous les problèmes de circulation. Ca permet d'avoir un départ dans de bonnes conditions. La route est bien dégagée et la sécurité des coureurs est vraiment au maximum. "
Nos deux reporters VIP, Christopher et Sébastien interviennent à l'antenne aussi.
Jimmy Casper, ancien coureur cycliste au micro de France Bleu, raconte ses souvenirs de la course.
Dimanche, il est 10h. Les supporters sont maintenant nombreux à attendre le départ fictif.
Départ de la caravane publicitaire.
Au village de départ, les premières équipes arrivent, dont la seule locale : Cofidis.
Thierry Adam, la voix du Paris-Roubaix : "Dans la tête c'est compliqué cette course !"
Sébastien Denneulin, notre second reporter VIP est arrivé au village et découvre l'ambiance du village.
Christopher Delerue, un de nos deux reporters VIP est arrivé de bonne heure aussi. Il découvre les lieux.
Dimanche 14 avril, il n'est pas encore huit heures mais déjà Florian Dubois, notre régisseur, est sur place pour poser les banderoles. Un beau travail sur la ligne du départ par exemple.
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