Attentat de Nice : "Plus que jamais nous sommes en guerre" - les réactions politiques en Périgord

L'un des premiers à réagir a été ce matin Bernard Cazeau, le sénateur socialiste de la Dordogne. Pour lui, "il va falloir être très prudent, cela peut arriver à tout moment". Selon l'élu, l'état d'urgence ne fait pas tout. D'ailleurs lui affirme ne plus sortir lors des grands rassemblements de foule.

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Autre réaction, celle du président du conseil départemental de la Dordogne et député socialiste du Périgord noir Germinal Peiro: il se dit "écoeuré" et "horrifié". "On a passé l'euro sans incidents, mais ils ont choisi le 14 juillet pour faire du mal encore une fois". Germinal Peiro estime qu'il faut encore renforcer le renseignement. "J'espère que nous ne vivrons pas en permanence en état d'urgence, mais je voterai sa prolongation" a dit l'élu.

Renforcer le renseignement

Il faut revoir les procédures contre les individus fichés S dit de son côté Jean Jacques de Peretti, le maire Les Républicains de Sarlat. Daniel Garrigue, le maire gaulliste de Bergerac estime quant à lui que la seule arme contre le terrorisme, c'est le renseignement.

"Je pense que nous sommes en état de guerre, il est donc très important de maintenir l'état d'urgence a dit Antoine Audi, le maire LR de Périgueux sur France Bleu Périgord.

Retrouvez ici quelques tweets des politiques périgourdins :

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