Avant 2030 les véhicules électriques moins chers que ceux à essence

Les voitures électriques ont un prix environ un tiers plus élevé. Mais, selon une étude réalisée par Bloomberg pour l’ONG Transport & Environment, cet écart de prix devrait bientôt disparaître. Dans un premier temps, la parité entre les véhicules électriques et les véhicules thermiques sera atteinte en Europe entre 2025 et 2027. Les conducteurs pourront ainsi s'équiper d'un utilitaire léger électrique, par exemple une Kangoo, à un prix équivalent à un modèle à essence dès le milieu de la décennie. La parité pour les SUV et les berlines est attendue en 2026. Les amateurs de citadines, eux, devront attendre 2027. Selon la même étude, les voitures à batterie coûteront moins cher avant 2030, même sans aides gouvernementales. Et ce grâce à "la baisse du coût des batteries ainsi que par la mise en place de chaînes de production dédiées aux véhicules électriques", selon l'étude. Précisons que les auteurs n’ont pas pris en compte le prix des matières premières, qui est en train d’exploser.

Et puisqu’on parle de prix, on connaît le tarif des batteries sur les modèles électriques

C’est en fait la conséquence d’une nouvelle disposition fiscale. Afin de permettre aux entreprises de déduire le prix des batteries, celui-ci doit être communiqué par les constructeurs. L’argus rapporte justement quelques exemples.  Sur la Mustang électrique par exemple, elle coute entre 17 500 et 22 000 euros. C’est plus chez Tesla, près de 27 000 euros pour une Model S ou une Model X, et bien plus chez Audi : près de 38 000 euros sur l’e-tron. En comparaison, la batterie d’une Volkswagen ID3 coûte 12 000 euros. Le record revient au groupe Renault, avec 4 400 euros pour la Dacia Spring et 3 600 euros sur la Twingo ZE. Mais sur ces modèles, il s’agit de petites batteries.

Renault sport, c’est terminé. Désormais, il faut dire Alpine Cars.

Ce changement de nom a déjà été engagé en Formule 1. C’est désormais le cas pour le label qui s’applique aux voitures sportives. Il accompagne le développement de la future gamme Alpine 100 % électrique et les échanges techniques avec les équipes engagées en compétition. C’est sans doute un choc pour les fans, qui ont en tête des modèles emblématiques tels que la R5 Turbo, la Clio V6, la Mégane R.S. Trophy et l’Alpine A110. Cependant, parallèlement au développement de la nouvelle gamme Alpine, les équipes en place continueront d’assurer le support existant auprès des clients Renault Sport. 

Et puis Romain Grosjean va piloter la F1 dont tous les pilotes rêvent, celle de Mercedes.

Le pilote français Romain, qui avait quitté la discipline après un terrible accident fin 2020, sera de retour au volant d'une Formule 1 pour un test privé. Il pilotera une Mercedes le 27 juin, pour des « tours de démonstration » en préambule du Grand Prix de France, puis le 29 juin pour des tests privés à nouveau sur le circuit Paul Ricard du Castellet, dans le Var. Il sera au volant de la monoplace Mercedes de 2019, championne du monde comme tous les modèles de l'écurie du constructeur allemand depuis 2014. Un beau geste de la marque à l’étoile. C’est une décision de Toto Wolff, le patron de l’écurie de F1, qui avait été ému par l’accident du français. Rappelons que Grosjean s’était crashé lors du Grand Prix de Bahrein, et qu’il avait réussi à s’extraire de sa monoplace en flammes.