La rando du week-end avec Alain Gueguen

Avec la photo souvenir, on pourra dire, j’y étais et se retrouver sur le site de France bleu.

Au retour à 12 h, possibilité de restauration sur place avec des produits gorronais. Je ne sais pas pour vous, mais moi quand je goûte, j’y reviens. Le mots seul Gorronnaise me fait saliver. 

Et puis, pour celles et ceux qui le veulent, après la pause repas, balade vers les centre ville, à l’ombre de la vaste église Saint-Martin, centre d’un ancien bourg religieux alors que le château dont il ne reste que quelques vestiges était du 11èsiècle. 

Sous les second Empire, Gorron est un chef-lieu de canton prospère. Une avenue ostentatoire, la rue Faverie, est construite entre la nouvelle église et la mairie. Bordée d’arbres, elle ressemble à un mail comme on les voit en Angleterre du temps de la reine Victoria. Les Gorronaises et Gorronais  la fréquentait pour aller aux offices religieux, au cimetière et se rendre dans les écoles. Mais les familles aisées y passent aussi les dimanche et lors de belles soirées d’été pour des rencontres en marchant. C’est le nouveau quartier huppé où s’étalent quelques maisons nouvelles avec le confort moderne autour de 1900.

Et de là, en deux pas, on va à la mairie halle pour les marchés ou bien le soir dans la splendide salle de théâtre que vient de rénover la mairie et que Jean-Marc Allain vous présentera lui-même. Le passe sanitaire est exigé pour entrer à l’hôtel de ville à 14 heures. 

Au-dessus de vos têtes, le lanternon est trop exigu pour être visité à plus de 10 personnes.

Chers auditeurs et auditrices, à tout à l’heure !  

Alain Guéguen