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La filière du funéraire se porte bien, si on peut dire...

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Le chiffre d'affaires en valeur du secteur progresse régulièrement, principalement soutenu par les revalorisations tarifaires, alors que le volume d'activité tend à stagner.

La nouvelle éco
La nouvelle éco © Getty

Et puis il y a l'évolution sociologique du rapport à la mort : la désacralisation de la mort s'accompagne d'une diminution des dépenses moyennes par décès et l'activité du secteur des services funéraires est désormais tributaire de l’évolution du pouvoir d’achat des clients.

Deux chiffres pour fixer les idées

NOMBRE D’ENTREPRISES DU SECTEUR en 2021 : 4 800

CHIFFRE D’AFFAIRES DU SECTEUR (en milliards d’euros) en 2021 : 2,551 Md€

Notre Région AURA se place en deuxième position derrière l’Ile de France en termes d’implantation d’établissements de services funéraires.

C’est encore un marché dominé par les indépendants

Les indépendants sont très nettement majoritaires sur le marché (60% des entreprises de pompes funèbres et 80% des structures de soins aux défunts). 

Ils interviennent au niveau local et régional et c’est très majoritairement le cas dans nos Pays de Savoie.

De plus en plus de personnes ont recours à la crémation

Le développement de la crémation (plus d'un tiers des obsèques) a entraîné une dévalorisation du marché classique du funéraire. 

Le taux de crémation continue de croître car il s’agit d’une tendance de fond.

Au 31 décembre 2020, 198 crématoriums étaient en service dans la France entière.

Mais la crémation risque d’être aussi touchée par la crise énergétique. 

Selon certains spécialistes du secteur, les crémations, qui utilisent beaucoup de gaz, risquent de coûter plus cher aux familles dès l'an prochain. 

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