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"L'absence de CRS cet été nous coûte 40.000 euros de plus" selon le responsable des plages à Saint-Jean-de-Luz

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Le littoral basque se prépare à la saison touristique avec le retour des MNS, les maitres nageurs sauveteurs pour assurer une baignade sans danger. Sauf que cet été, les Jeux Olympiques à Paris vont monopoliser tous les CRS. La conséquence est lourde pour les communes comme Saint-Jean-de-Luz.

Arnaud Iribarne, responsable de splages de Sainnt-Jean-de-Luz
Arnaud Iribarne, responsable de splages de Sainnt-Jean-de-Luz © Radio France - Céline Arnal

Cet été 2024, Saint-Jean-de-Luz ni aucune commune du littoral basque ne pourront compter sur la présence des CRS MNS pour surveiller la baignade sur les plages. Les Jeux Olympiques à Paris vont monopoliser toutes les compagnies. Du coup, les communes sont obligées de se réorganiser**. A Saint-Jean-de-Luz, il y a habituellement dix CRS** qui travaillent 48heures par semaine. Du coup, pour compenser leur absence, "La mairie doit recruter quatorze MNS (ils seront 54 en tout) :  un surcoût de 40.000 euros pour un total de 200.000 euros." explique Arnaud Iribarne, le responsable des plages sur la commune,

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