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Alain Anceau, maire de St-Roch et président de la communauté de communes Gâtine-Choisilles

À retrouver dans l'émission
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Son interview en direct à retrouver ici en intégralité

L'invité de France Bleu matin en Touraine : une interview sous l’angle de l’actualité en région © Radio France

D'ici la fin de l'année, l'Indre et Loire ne comptera plus que 11 communautés de communes contre 20 aujourd’hui. Des fusions acceptées partout sauf dans le nord. Là-bas, pays de Racan et Gâtine-Choisilles ne veulent pas se marier. Alain Anceau nous dit pourquoi.

" D'abord parce que cette fusion n'est plus obligatoire. Aujourd'hui, la loi Nôtre impose un seuil de 15 000 habitants minimum pour chaque communauté de communes. Aujourd'hui, on ne les a pas. Mais dans quelques jours, en 2017, grâce à la fusion entre Beaumont-la-Ronce et Louestault, nous aurons plus de 15 000 habitants. Donc plus besoin de fusionner."

_J'espère toujours que le Préfet nous accordera une dérogation"
_

" Ensuite, si Tours devient une métropole, et ce sera certainement le cas, plusieurs communes de chez nous dont la mienne ( St-Roch) demanderont à intégrer Tours Métropole en 2020. Pourquoi fusionner aujourd'hui pour créer une nouvelle intercommunalité qui volera en éclats dans 3 ans à peine ? " Sur ce point, Alain Anceau espère toujours un geste du Préfet pour obtenir une dérogation et empêcher cette fusion qui n'aurait pas lieu d'être selon lui.

Et puis, toute fusion sert à priori à faire des économies. " Sauf ici. Car si nous aurons une vingtaine d'élus en moins, cela n'entraînera aucune économie car les élus communautaires ne touchent pas d'indemnité. Au contraire même, car il faudra agrandir notre siège, améliorer son système informatique. Et tout cela a un coût."

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